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De Blogueur à Développeur : La Reconversion Zen et Réussie de Nicolas Daudin – Gagner sa Liberté Épisode 6

Dans ce nouvel épisode de Gagner sa Liberté, nous discutons avec Nicolas Daudin, un entrepreneur que j’ai déjà reçu en 2019 dans l’épisode intitulé « Atteindre la liberté financière avec son blog » et dans lequel il dévoilait les secrets de la réussite de son site ABC Argent.

Dans l’épisode d’aujourd’hui :

  • On revient sur la réussite d’ABC Argent et Nicolas nous explique pourquoi il a décidé de vendre son blog et de se reconvertir,
  • Comment il a trouvé l’idée de son nouveau métier,
  • On a parlé de nombreux sujets liés à l’entrepreneuriat, et à la reconversion professionnelle,
  • On a même parlé de LinkedIn où on s’est recontactés,

Et tu vas trouver plein d’autres conseils et j’espère de motivation dans le témoignage de Nicolas Daudin, qui partage avec nous son parcours de reconversion réussi de blogueur à développeur en freelance.


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Si tu préfères lire, la retranscription complète est disponible plus bas 👇👇

Voici ce que tu vas découvrir en écoutant cet épisode :

Nicolas a réussi à très bien vendre son site ABC Argent qu’il a créé et monté à plus de 200000 visiteurs par mois et des revenus quasi passifs mensuels à 5 chiffres, et il s’est servi de cette vente et de ce matelas financier pour se reconvertir et se former en tant que développeur backend.

  • Introduction : J’ai interviewé Nicolas en 2019 quand il était encore à la tête d’ABC Argent, un blog qu’il a créé de A à Z et amené à plus de 200000 visiteurs et des revenus passifs à 5 chiffres par mois lui permettant à l’époque de démissionner de son job d’ingénieur,
  • Stratégie de contenu : Il nous explique comment il avait réussi à se différencier par la qualité pour sortir du lot sur une thématique Argent où les contenus manquaient d’exhaustivité, de qualité et parfois était même un peu limites ou bullshit,
  • Organisation : Nicolas nous explique comment il a réussi à lancer ce site en 3 à 4 heures par jour à côté de son job de l’époque,
  • Vente d’ABC Argent et reconversion : Nicolas nous explique pourquoi il a décidé de vendre son blog et son choix de reconversion dans l’informatique en tant que développeur backend,
  • Quel investissements : Comment bien placer l’argent de la vente d’ABC ? Bourse ? Immobilier ? ?Il nous parle des sujets qu’il a d’abord étudiés pour analyser les meilleures solutions de placement,
  • Reconversion Zen : Comment Nicolas a planifié sa reconversion en mode zen en profitant au mieux de sa fille, de sa vie de famille, du sport et de pratiques de bien-être comme la méditation de pleine conscience (mindfulness)
  • Besoin d’être utile et actif : Nicolas nous explique que finalement il avait besoin de trouver une activité et de se sentir utile et pourquoi finalement la liberté financière ne lui suffisait pas en tant que tel,
  • Choix de la reconversion : L’envie de créer quelque chose de zéro, comme le blog a refait surface, et c’est dans le développement informatique qu’il a ressenti l’envie de poursuivre et de bâtir quelque chose de nouveau,
  • Formation : Comment il a recommencé à se former petit à petit et à appris un nouveau langage informatique en passant par Udemy au départ et en se formant à son rythme, en deux ans,
  • Premières missions de développeur en freelance : dont une que Nicolas a réalisée pour Auto-Édition Facile, mon deuxième projet après Side Hustle France et co-géré avec Ethan Pingault et Gwenaëlle André,
  • Freelance pour des clients français : Pourquoi il cherche en freelance auprès de clients français pour des raisons de simplicité administrative sachant qu’il vit à Madrid
  • Développement pour Auto-Édition Facile : on parle de la mission que Nicolas a mené pour le développement d’un outil d’analyse des catégories KDP pour le site Auto-Édition Facile,
  • Expérience d’entrepreneur : Pourquoi son expérience blog/entrepreneur lui permet d’avoir un avantage concurrentiel par rapport à des développeurs qui n’ont pas eu son parcours car il propose aussi son expertise d’un point de vue business et pas seulement au niveau du développement de code informatique,
  • Développeur Backend : Nicolas donne plus de détails sur son nouveau métier de développeur backend, le type de missions qu’il réalise actuellement et le type d’organisation et de clients à impact positif qu’il cible pour proposer ses services,
  • Relations clients/sous-traitant : et pourquoi la relation humaine, le respect et le partage d’info peut créer un esprit d’équipe et de partenariat même sans être associé ou salarié
  • Build in Public sur LinkedIn : Comment Nicolas développe et partage son parcours de reconversion sur LinkedIn en mode build in public, ce qui lui permet grâce à sa transparence à développer son réseau et à prospecter,
  • Se faire coacher : Pourquoi et comment son expérience en tant qu’entrepreneur et blogueur lui permet de proposer des compétences, de se différencier, par des « soft skills « , en particulier en se faisant coacher pour prendre du recul et savoir présenter la richesse de son expérience pour faire la différence pour convaincre un client
  • Une reconversion ne se refait jamais à zéro : on a toujours des atouts de ses expériences d’avant qui seront utiles dans son nouveau métier
  • Coaching avec Charlo Allizard : Il nous présente son expérience de coaching auprès de Charlo Allizard et pourquoi il recommande son coaching qui peut permettre de lever des blocages, prendre du recul et trouver des pistes pour progresser et atteindre un nouveau cap,
  • Matrice d’Eisenhower (Important/Urgent) et comment cet outil peut nous permettre de mieux prioriser et de faire disparaitre les urgences et ne pas se noyer dans le quotidien et les urgences à court-terme,
  • Amazon KDP : Nicolas y a déjà publié un livre, je lui demande s’il n’est pas tenté d’en écrire un sur l’expérience de reconversion qu’il est en train de vivre,
  • LinkedIn : Avec Nicolas on échange au sujet de LinkedIn où on s’est recontactés, quels sont tous les avantages de cette plateforme, pour la prospection et le partage avec des professionnels du développement mais pas seulement. Nicolas explique comment LinkedIn est pour lui très enrichissante pour sa reconversion et sa capacité à se connecter à des personnes très intéressantes et s’ouvrir à de nouvelles opportunités,
  • Nicolas nous donne sa vision de la liberté, et pourquoi sa définition maintenant est plus proche de la notion d’Ikigaï, de capacité de choisir son temps et de trouver son équilibre
  • Dernières lectures de Nicolas, dont The Great Race Escape de MJ Demarco qu’on a aimé tous les deux, en particulier pour sa forme avec une partie romancée, mais aussi toutes ses autres lectures dans des domaines variés, du développement personnel et de l’écologie.

Conclusion

Merci d’avoir écouté cet épisode. J’espère qu’il t’aura permis de noter quelques idées pour tes projets.

N’oublie pas de t’abonner au podcast Gagner sa Liberté sur ta plateforme d’écoute et de laisser un avis pour nous dire ce que tu as pensé de cette interview.


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Ressources, livres et Liens importants :

Épisode tourné avec Nicolas en 2019 :

Atteindre la liberté financière avec son blog

Outil d’analyse de Catégories KDP que Nicolas à réalisé pour site Auto-Édition Facile :

Outil d’analyse des catégories KDP

Profil LinkedIn de Nicolas :

https://www.linkedin.com/in/nicolasdaudin/

Matrice d’Eisenhower :

https://sidehustlefrance.com/to-do-list/#Etape_n3_Definir_ses_priorites

Profil LinkedIn de Charlo Allizard, le coach cité par Nicolas :

https://www.linkedin.com/in/charleslouisallizard/

Livres :

https://geni.us/zOzt4

Quittez la course des rats ! – De l’esclavage salarial la libert financire: MJ DeMarco


Merci d’avoir suivi cet épisode de « Gagner sa liberté ». N’oublie pas de t’abonner pour ne rien manquer des prochains épisodes et pour continuer à découvrir des parcours comme celui de Juliette.

Et viens me dire ce que tu as pensé de cet épisode en laissant un avis/commentaire/évaluation :


Retranscription complète :

Dimitri: la dernière fois tu étais venu dans le podcast. Donc voilà, ça remonte à quatre ans et à l’époque tu n’étais pas du tout dans la même situation. Tu t’occupais du site ABC Argent que je pense beaucoup connaissent et peut être certainement les gens qui nous écoutent qui existe encore. Et donc ça fonctionnait plutôt bien et même très bien. Et aujourd’hui tu as complètement changé de voie et donc tu es devenu développeur, donc développement backend. Qu’est ce qui fait que tu as complètement changé de voie? Qu’est ce qui fait que tu as sauté le pas et comment tu t’es dit à un moment donné OK, c’est le moment de passer à autre chose, de vendre le site et et de faire ce que tu as fait et qui fait que tu es aujourd’hui dans cette nouvelle situation.

Nicolas: Bon déjà bonjour, merci de me recevoir, ça fait super plaisir. Quatre ans après. Bon déjà ça fait plaisir que tu continues avec le podcast, ça c’est vraiment cool. Oui donc effectivement, moi je n’ai plus le blog. Je l’ai vendu en mars 2 février 2020, je l’ai vendu quelques jours avec avant le début des confinements, ce qui est un pur hasard mais qui a été un très très très beau hasard. Donc j’ai revendu le blog en fait déjà à l’époque quand on avait fait le podcast. Je pense pas que j’en ai forcément parlé, mais c’est quelque chose que je commençais à envisager de vendre. Le blog, j’y pensais depuis un certain temps en fait. Quand j’ai commencé le blog en 2014, c’était c’était. C’était une passion. J’aimais vraiment bien écrire, ça me bottait à mort. J’adorais ça écrire. En plus, j’écrivais dans entre guillemets, dans le vide, puisque personne ne me lisait à l’époque. Tout au début, les blogs, il y a personne qui va sur les blogs. En fait, c’est surtout quand c’est du trafic organique comme le mien. Mais j’aimais bien. J’aimais bien partager ce que j’avais découvert sur sur cette thématique et les premiers commentaires qui arrivent un petit peu.

Nicolas: L’excitation, les premiers revenus qui tombent, les premiers, les premiers, les premiers partenariats, le blog, le blog à vraiment, vraiment, vraiment grandi. A un moment, j’ai commencé à ça. J’en suis arrivé à l’objectif que je m’étais fixé qui était d’en tirer des revenus passifs, mais des revenus conséquents donc, qui m’ont permis d’abord de démissionner de mon travail, de mon emploi, de l’emploi que j’avais à l’époque. Et puis c’est devenu en fait un vrai vrai business dans le sens où j’ai commencé à déléguer les parties qui m’intéressaient un peu moins. Je commençais à avoir fait le tour des sujets qui m’intéressaient niveau écriture, donc j’ai aussi pareillement commencé à déléguer. Voilà. Et du coup ça devenait un peu moins on va dire, ça devenait un peu moins excitant et -7. J’avais déjà atteint des sorte de sommets chaque fois que je me fixais un objectif en terme de revenus par exemple, ou de visites. J’arrivais à un moment ou un autre à l’atteindre, donc à un moment il n’y a plus de challenge quoi. Enfin si, il y avait toujours un challenge, je pouvais toujours faire plus mais. Mais voilà, ça m’excitait un peu moins.

Dimitri: Tu avais l’impression d’avoir fait le tour. Juste pour préciser, tu étais, je crois à l’époque, on parlait de 200 000 visiteurs par mois. C’était ça l’ordre de grandeur.

Nicolas: Ouais, c’était ça et c’est souvent c’est très longtemps resté ça. D’ailleurs, de ce point de vue, j’ai jamais vraiment réussi à augmenter le nombre de visiteurs. Par contre, j’ai réussi à optimiser la monétisation pour atteindre pour à chaque fois atteindre des paliers plus importants. Le nombre de visites Il y a un moment, je pense qu’en fait, dès le début j’ai attaqué tout de suite les gros sujets référencement, donc là où tout le monde pouvait me trouver. Du coup je suis assez vite arrivé à 200 000 et en fait après c’était Ça commence à devenir difficile d’amener du nouveau monde. Vous voulait dire des nouvelles thématiques qui étaient un peu parallèles à ma niche et du coup j’ai pas réussi à me placer. Je sais pas. Je me rappelle par exemple j’essaie de de parler de reconversion professionnelle justement, de travail à domicile, ce qui est parfois recherché dans les thématiques comment gagner de l’argent. Donc c’est un petit peu parallèle. C’est pas exactement ça, mais c’était un petit peu ça. J’avais essayé de me positionner sur cette thématique, mais ça n’a pas donné, ça n’a pas porté fruit. Donc du coup, mon nombre de visites est resté à 200 000.

Dimitri: Ce qui est déjà un très bon score.

Nicolas: Une.

Dimitri: Et effectivement, je me souviens qu’à l’époque tu me parlais de d’élargir un petit peu aux thématiques plus travail à domicile, reconversion, les sujets comme ça et. Et d’ailleurs je pense que c’était à l’époque où on s’était. On avait commencé à discuter ensemble, mais 200 000 visiteurs, ça reste en France. Un très beau score de visiteurs. On est beaucoup à rêver, à avoir la même fréquentation de nos sites.

Nicolas: Après, c’était une niche qui était quand même assez. Ce n’était pas une niche très niche et je vais me répéter, c’était plutôt assez généraliste. Moi, je m’étais positionné clairement. Mon objectif, c’était d’être premier sur comment gagner de l’argent, comment gagner de l’argent en ligne, comment gagner de l’argent. Donc il y a quand même pas mal de gens qui cherchent, qui cherchaient ces expressions et du coup tout ce qui tournait autour. Voilà, il y avait quand même un potentiel clairement de visites. Ce n’était pas très très niché dans le sens où par exemple, un blog sur l’auto édition, mine de rien, c’est quand même beaucoup plus niche et donc 200 000, ça serait beaucoup plus compliqué j’imagine, à atteindre, en tout cas en France.

Dimitri: je me souviens, tu te différenciaient alors bon après c’est vraiment juste pour se pour se remémorer, mais aussi ce qui avait vraiment fait sa marque de fabrique, c’était justement le le côté anti-bullshit, Tu donnais les méthodes sérieuses et tu essayais de te différencier par rapport à ça, par rapport à la aux

Nicolas: Un.

Dimitri: Tests que tu pouvais faire, de ces différentes méthodes. Et puis aussi, moi ce que je me rappelle, c’était aussi la qualité écrite et. Et d’ailleurs j’ai revu un de tes posts il n’y a pas longtemps sur LinkedIn qui était sur un tout autre sujet et j’ai reconnu reconnu la patte Nicolas Daudin. Et c’est une question pas prévue, mais ça m’a fait penser justement ça te manque pas l’écriture ou est ce que tu gardes une partie d’écriture? Parce que je me souviens, à l’époque, tu nous racontais que tu avais quasiment écrit l’encyclopédie Universalis en quantité sur le site ABC Argent. Et donc aujourd’hui, tu écris encore Ça se passe comment au niveau de l’écriture?

Nicolas: Non, j’écris plus du tout. Enfin, il y a un petit peu les publications sur LinkedIn, mais voilà, c’est une fois tous les tous les x jours ou toutes les toutes les semaines, c’est limité. Puis Ouais, non, j’écris plus du tout. J’aimais bien écrire, c’était ce que j’aimais bien. J’aimais bien pondre des trucs de 3000, 4000, 5000 mots. Donc faut savoir qu’à l’époque, à l’époque, quand je suis rentré sur la niche, il y avait. Pas beaucoup de blogs qui étaient sur le sujet. Il y a beaucoup d’articles ponctuellement sur certains blogs, sur. Sur cette thématique, mais pas des blogs entiers. S’il y en avait, c’était très très light. C’était pas très quali, ça pouvait parfois être du bullshit, du style mettre en avant à fond. Je sais pas, les paris sportifs, les casinos, les MLM et tous les trucs qui sont soit borderline, soit directement à la limite de l’illégalité quoi. Ou bien vendre tout simplement. Sa vendait un peu la moto quoi, ça faisait croire qu’on pouvait gagner facilement de l’argent dans un casino quoi.

Dimitri: Ouais.

Nicolas: C’est un peu pour ça que j’avais vu cette niche. Ça m’intéressait. J’avais déjà essayé, moi, avant de gagner de l’argent en ligne ou même hors ligne d’ailleurs, un petit peu ton truc, c’est un sujet qui m’intéressait, j’aimerais bien parler de ça. Et j’ai vu que la concurrence, effectivement, n’était pas très très haut niveau et c’est pour ça que du coup c’était pas très dur pour moi de mettre ma patte de. Honnêtement, quand j’étais au collège ou au lycée en rédaction, je devais avoir onze onze sur 20. Je n’allais jamais plus loin. Je n’étais pas un très très bon. Mais c’est pas ce qui est demandé sur un blog, c’est vraiment partager, parler un peu. Moi j’essaie de ne pas parler, de ne pas être trop académique justement, d’être un peu genre faire des mauvaises blagues ou des bonnes blagues, je sais pas

Nicolas: et je pense que les gens aimaient bien ça aussi. Ce ton

Dimitri: Ouais

Nicolas: Un

Dimitri: Non

Nicolas: Peu

Dimitri: Mais il y avait vraiment un tout.

Nicolas: Formel.

Dimitri: Il y avait plein de choses que moi j’en ai fait partie, de ceux qui ont lu et qui aimaient bien. Qui étaient un peu tristes quand tu es parti. Alors après, il y a toujours ABC Argent, il y a toujours des choses intéressantes dessus. Mais effectivement, pour ceux qui étaient un peu connaisseurs de l’intérieur, Il y avait un style.

Nicolas: C’est les articles à l’époque, j’ai été racheté en février 2020, donc l’intelligence artificielle, c’était pas du tout à la mode, ça existait, ça existe depuis des années, mais personne, je pense, ne générait ces textes avec de l’intelligence artificielle. Mais maintenant clairement, les nouveaux articles qui paraissent, bah c’est pas c’est très différent, ça pourrait être clairement généré par deux, par deux, par Chatgpt ou quoi? C’est pas il n’y a pas de, il n’y a pas vraiment de personnalité. Donc voilà, Après c’est un choix éditorial que l’acheteur a fait, Ils ont un business model qui est très différent du mien je pense derrière et bon voilà.

Dimitri: Ouais bon, comme quoi il y a plein de façons de faire faire

Nicolas: Oui.

Dimitri: Un business toi En plus c’était un peu démarré en. On va pas réécrire tout tout l’épisode numéro un, mais

Nicolas: Je.

Dimitri: Quand tu avais commencé, c’était en stage de fin d’études, si je me souviens bien, au Chili ou en Amérique du Sud. Comment tu avais fait ?

Nicolas: Non, non. J’avais profité d’un. Enfin, j’avais profité d’un. J’étais expatrié. En fait, je bossais à Madrid, en Espagne, et ma boite m’a envoyé au Mexique pendant un an. Mes boss étaient toujours à Madrid donc du coup j’avais pas mal d’heures dans la dans la journée ou j’avais du temps et en fait tout ce que je devais faire je le faisais en temps et en heure donc du coup c’était pas trop sous pression. Du coup j’ai utilisé tout ce temps

Nicolas: Libre. Je sais pas, deux, trois, 4 h par jour pour lancer le blog en fait. Enfin pour plutôt continuer. Parce qu’en fait, quand je suis arrivée au Mexique, le blog était déjà lancé. J’avais déjà publié une dizaine d’articles je pense, mais c’est vraiment le toutes ces heures libres au boulot qui m’ont permis de le faire grandir.

Dimitri: comme quoi, parfois on sous estime la capacité qu’on a à créer un business de toutes pièces trois 4 h par jour, ça parait beaucoup. Mais effectivement, quand tu regardes tout ce que tu as pu créer et la liberté que ça t’a donné, finalement, c’était un investissement hyper rentable, même au niveau horaire.

Nicolas: Ouais ouais, c’est clair que niveau horaires c’était un super investissement. Et puis en fait c’était sur c’était. C’était pas mal sur mes heures de boulot, donc du coup c’était plutôt. J’ai eu pas mal de chance par rapport à ça aussi quoi. Après bon, j’en ai profité aussi. Enfin j’en ai tiré avantage.

Dimitri: Thématiques Argent ça existait déjà de trouver une manière de différencier par rapport à ça pour déjà en centralisant, tu t’es dit il n’y a pas un site où il y a, il y a tout qui est couvert. Donc toi tu as vraiment joué l’exhaustivité, Il y a quand même un travail de fond, de création de contenu et pas avec Chatgpt à l’époque. Contenu et créé par écrit par toi et et qui a passé quand même des heures. Mais effectivement aussi avec ta patte, ta version du des business en ligne et de l’argent extra avec ton expérience. Et je pense que c’est ça qui va rester malgré Chatgpt aujourd’hui, ce qui va faire la différence c’est des contenus où justement on voit qu’il y a une authenticité, il y a il y a une vraie histoire derrière, la personne a testé. Je pense que c’est ça qui va faire qu’on se démarque des contenus.

Dimitri: Quand je dis on toi, c’est plus ça. D’ailleurs on va en venir à ça. Moi je suis toujours dans c’est dans la création de contenu et les sites web et donc toi tu es passé complètement à autre chose aujourd’hui. ABC, argent, ça monte à 200 zéro zéro zéro visiteurs. Tu l’as gardé plusieurs années je crois. Et puis à un moment donné, finalement, ça t’a apporté une liberté. Finalement, je ne sais pas comment dire, mais tu as tu as encaissé finalement ce travail là et tu l’as transformé pour changer de vie quoi? Changer complètement de de de chemin. Donc aujourd’hui, pour devenir développeur

Nicolas: Il se trouve que quand quand j’ai commencé le blog, j’ai ma profession, enfin de formation, je suis ingénieur informatique et donc je bossais dans l’informatique, j’étais plus ou moins dev. Enfin sur ma fiche de poste c’était dev, mais dans les faits je faisais plus vraiment de dev. Je faisais surtout surtout des tests. C’était plus vraiment du technique quoi. C’est aussi pour ça que j’ai commencé le blog parce que je m’ennuyais à mon boulot du coup. Quand arrivait le moment de vendre le blog, enfin de commencer à vraiment envisager de vendre le blog et de m’y mettre pour de vrai, à chercher un intermédiaire et tout. Voilà l’une de mes exit, on va dire. L’une de mes sorties possibles, c’était de me remettre, me reconvertir, de me reconvertir, de retourner aux sources et de refaire du dev. C’était une des idées possibles. Et je voulais aussi préciser une des raisons pour lesquelles j’ai vendu, c’est que ma fille est née en novembre 2019. Et du coup pareil, je me voyais plus être à cheval entre le blog, c’était les revenus passifs, mais en fait j’y passais du temps. Enfin parce que j’avais envie, mais aussi

Dimitri: Jamais complètement.

Nicolas: Une. C’est jamais complètement passive, une histoire de stress parce que je dépendait à 95 % de Google pour les visites et

Dimitri: On.

Nicolas: Google l’algorithme, il change très souvent et du coup il y a toujours un petit peu cette peur, un petit peu cette épée de Damoclès et c’est tout mis bout à bout. Et la lassitude a fait que j’ai choisi de vendre le blog. J’ai trouvé un acheteur, c’était assez rapide et donc je l’ai vendu juste avant les différents confinements. Et mon objectif

Dimitri: Ouais, ça c’est

Nicolas: En fait,

Dimitri: Cool.

Nicolas: C’était c’était de me poser un petit peu et de réfléchir à ce que j’allais faire par la suite. J’avais plusieurs idées, j’avais notamment investir dans l’immobilier, donc pour ça, je voulais me former, je voulais lire sur le sujet, Je voulais aussi investir en bourse. Pareil, ça, ça demandait de m’investir, de me former, de lire beaucoup sur le sujet. Je voulais pas faire ça, prendre le premier truc qui arrive et allez hop, je vais faire un plus 100 ou. Enfin bref, moi je voulais. Moi je voyais toujours le long terme, comme pour le blog d’ailleurs. Le blog c’était clairement un truc sur le long terme aussi. Enfin moyen long terme du coup.

Dimitri: Ouais.

Nicolas: Et.

Dimitri: Es tu creuses? J’ai l’impression aussi quand tu prends un sujet, tu as envie d’aller un peu plus

Nicolas: D’ailleurs,

Dimitri: En

Nicolas: Ironiquement

Dimitri: Dessous de la surface.

Nicolas: Ouais mais oui, je pense, c’est ce qui a fait le succès du blog aussi. Je faisais pas des articles de 300 mots sur comment gagner de l’argent. C’était je pense des articles que j’ai écris tout seul qui font plus de 10 000 mots. 10 000 mots, c’est énorme, C’est un truc de 20 minutes à lire sur internet. Je pense que c’est énorme pour pour Internet et encore plus maintenant à l’ère de Tiktok et de Chatgpt, c’est. Bref.

Dimitri: Ouais,

Nicolas: Mais ironiquement,

Dimitri: Ouais, c’est clair.

Nicolas: J’ai beaucoup étudié, notamment sur l’investissement parce que en plus, la bourse avait beaucoup baissé avec le Covid. Je voyais que ça pouvait être une bonne opportunité. Je commençais à réfléchir pas mal sur le fait d’investir dans l’immobilier en mode tu achètes pour louer pour le sous louer, ensuite tu as un petit cash flow qui rentre, du coup tu achètes encore. Enfin bref, j’ai une grosse base financière. La vente c’était une très belle vente donc j’ai eu un très très beau matelas financier dont je profite encore à l’heure actuelle, trois ans et demi après. Du coup, je me suis posé plein de questions et comme tu dis comme je vais, je reste pas en surface. J’ai beaucoup étudié ça, j’ai beaucoup lu pendant deux, trois, quatre mois. J’ai aussi pris du temps pour moi, pour ma fille. Je me suis mis à Mindfulness à partir de septembre 2020. J’ai commencé un cours de snowboard parce qu’ici près de Madrid, il y a une piste

Dimitri: C’est vrai.

Nicolas: Indoor. Enfin bref, un vrai désastre écologique. Mais bon, j’avais envie de m’y mettre parce que c’est un sport que je venais de découvrir, que j’aimais bien, donc ça m’a pas mal occupé. Et au fil des mois, je me suis au final décidé pour me remettre dans le dans le dev. C’est vraiment ce qui me ce qui me tentait le plus.

Dimitri: Il n’y a pas à un moment donné, tu t’es dit bon, en fait je vais rien faire, je suis à la retraite quoi, je sais pas où

Nicolas: Avec

Dimitri: Quand

Nicolas: Les

Dimitri: Tu

Nicolas: Compliments,

Dimitri: Vois la question.

Nicolas: Les compliments, les moments où je lisais beaucoup sur les investissements. Je travaillais pas vraiment, j’étais plus en mode lecture. C’était

Dimitri: Et.

Nicolas: Pas des grosses journées, c’était peut être un peu le matin quand j’ai le snowboard. Du coup, il y a deux matinées qui passent à la trappe, tous les et. Et donc c’était pas des grosses semaines. Je sentais qu’il me fallait quelque chose de plus pour me sentir à nouveau utile on va dire. Ouais, enfin c’est un peu le mot

Dimitri: Non.

Nicolas: Me sentir. Je faisais quelque chose, c’est plutôt un besoin. Je suis pas moi. Je pourrais pas rester à rien faire. Déjà parce que j’ai personne autour de moi qui fait rien, donc en gros, je serai tout seul à rien faire. C’est pas très intéressant en fait.

Dimitri: C’est compliqué.

Nicolas: C’est bête, mais c’est d’aller se balader tout seul dans la rue parce que t’as rien d’autre, parce que t’as ta vie. Ta vie est faite entre guillemets, ce qui est pas le cas en plus. Mais voilà,

Dimitri: Tu aurais

Dimitri: Quand même une nécessité de travailler au moins pour assurer tes arrières où

Nicolas: Voilà, quoi

Dimitri: Il

Nicolas: Qu’il

Dimitri: Y

Nicolas: Arrive, j’avais.

Dimitri: A quand même le côté tu avais besoin de travailler de toute façon, pas rester comme ça en plan, mais

Nicolas: Il

Dimitri: Mais

Nicolas: Y a.

Dimitri: Aussi quand même besoin de t’y remettre à un moment ou un autre. Tu n’avais pas

Nicolas: Voilà,

Dimitri: La

Nicolas: On

Dimitri: Retraite

Nicolas: Est.

Dimitri: À vie quoi.

Nicolas: Non est exactement un étudiant un peu les. Parce qu’au début, quand j’ai étudié les histoires d’investissement, c’est un peu pour voir s’il y avait moyen de manière. On sait jamais. Sur un investissement évidemment, mais de manière on va dire probable sur le long terme de capital de capitaliser sur le revenu de la vente, de le placer d’une manière que ça me rapporte suffisamment pour ne plus avoir à travailler. J’ai un peu regardé ça, mais en fait il n’y a que vraiment sur les prix des gros risques qui veulent donc dire que tu peux doubler ton capital. Mais tu peux aussi le diviser par deux très rapidement ou le mettre à zéro quoi. Enfin. Il pas du tout envie de prendre ces risques? Donc du coup, à un moment je me suis dit bon bah si j’investis sur le long terme, quoi qu’il arrive, à un moment faut que je retourne travailler. Si je retourne travailler, qu’est ce que j’ai envie de faire? En fait le dev ça. Le développement, ça me disait bien parce que j’aime bien l’idée de avec le blog. En fait, j’ai créé quelque chose à partir de zéro avec le dev. Quand tu fais du dev informatique, tu crées aussi quelque chose à partir de zéro.

Nicolas: Même quand j’avais le blog, je faisais encore un peu de dev, j’avais fait des petits scripts, des petits outils pour m’aider dans mon quotidien à gérer mes revenus, à voir combien je gagnais sur chaque plateforme. J’avais fait un outil qui me permettait de me connecter à chaque plateforme, que ce soit Moolineo, Thread Tracker et bien d’autres. Et du coup qui me renvoyait les revenus que j’avais chaque jour. Du coup, j’ai pas à remonter sur chaque loggué, sur chaque plateforme. Tous les matins ça arrivait directement dans ma boite mail donc, et c’était cool. J’ai adoré coder

Dimitri: Et.

Nicolas: Ça, C’était une partie super super chouette que j’avais vraiment adoré. Donc je jamais vraiment abandonné ça. J’avais vraiment envie de me replonger là dedans et du coup en passer tous ces mois de réflexion, de profiter aussi. En septembre 2021, voilà, je me suis remis le pied à l’étrier, je me suis remis à. J’ai repris les formations en ligne sur Udemy et voilà, je me suis. J’ai commencé à me former tranquillement. Un rythme pas trop intense. Et voilà, petit à petit, comme j’ai changé de langage, donc de langage informatique. Du coup. En fait c’était un peu réapprendre à depuis zéro. Et

Dimitri: D’accord.

Nicolas: Du coup, j’ai passé les derniers mois. J’ai passé quasiment les deux dernières années à me former tranquillement. Et là, depuis mars on va dire, je me suis mis à chercher des missions. Des missions en freelance. Mon objectif, ça a toujours été d’essayer de trouver des missions en freelance en full remote, donc 100 % télétravail parce que je vis à Madrid et qu’en fait je voulais vraiment travailler avec la France. Et donc le plus simple c’est ces missions freelance à distance.

Dimitri: Ouais bah tiens d’ailleurs, c’était une de mes questions et c’était effectivement est ce que tu envisageais le salariat ou est ce que tu viens déjà de dire que tu envisageais le freelance? Ça, ça te passe par la tête? La possibilité du salariat où c’est vraiment? Tu es sûr que non, ce sera que des que du freelance.

Nicolas: Euh. Bon, faut jamais dire jamais. Je peux jamais être sûr parce que là, pour l’instant ça fait trois ans et demi que je génère plus d’argent. Donc évidemment, mon matelas financier est en train de se réduire. Mon idéal, c’est de trouver des missions en freelance. C’est clair et net pour moi parce que c’est plus facile d’un point de vue administratif. C’est un peu un sujet administratif en fait. C’est à dire

Dimitri: Un.

Nicolas: Que pour travailler avec la France et une entreprise française, c’est beaucoup plus facile en freelance que si je prends un CDD. Si je prends un cdi français, c’est à dire qu’ici en Espagne, faut que je fasse

Dimitri: Oui.

Nicolas: Remplir plein de formulaires que j’abandonne peut être la sécu espagnole. Enfin moi c’est un vrai bordel comme dans n’importe quel

Dimitri: Ah

Nicolas: Pays.

Dimitri: Oui, ok,

Nicolas: La France

Dimitri: Je vois.

Nicolas: C’est comme ça quoi. Vivre en Espagne, être résident fiscal dans un pays av ec un cdi d’un autre pays, c’est pas du tout facile.

Nicolas: j’aimerais bien trouver un client avec qui ça passe super bien, qui a un bon mindset à qui, dont je partage la culture et pourquoi pas rester faire des missions que pour ce client c’est. Ce serait limite mon idéal. Mais dans les faits, le plus facile en tout cas, c’est d’être freelance. Après, malheureusement pour des clients, ça fait souvent peur. Pour des clients potentiels. Freelance ça veut dire un peu volatile, qui changent de missions tous les mois. Et en fait dans mon cas, c’est juste que d’un point de vue statut, c’est plus simple de proposer mes services à la France. En fait, tout simplement le salariat en France ou en Espagne, je l’envisagerai si jamais je vois que je trouve aucune mission en freelance d’ici à six douze mois, si vraiment je vois que c’est mort de chez mort. Voilà, je commence à envisager autre chose donc je ne suis pas fermé à l’idée en tout cas.

Dimitri: Et là, peut être, pourquoi pas? C’était la question que j’allais aussi poser, qui n’était pas prévue. Celle là, c’était Pourquoi tu veux travailler avec des sociétés françaises? C’est pour la langue ou parce

Nicolas: On.

Dimitri: Que j’imagine que maintenant l’espagnol, ça ne doit pas être un souci? Depuis le temps que tu es là bas.

Nicolas: J’ai eu des meilleures expériences professionnelles avec la France. En fait, tout simplement, j’ai travaillé avant d’arriver en Espagne. J’ai travaillé deux ans en Belgique, pas en France, en Belgique. Mais après, quand j’ai travaillé en Espagne, je suis tombé sur des entreprises qui m’ont moins plus. Le mindset un peu me plaisait moins et du coup. C’est pas naturellement. J’ai envie de travailler en France, j’ai mon LinkedIn en français, je communique en français. Reste plus naturel. Après je suis bilingue en espagnol et aucun souci si demain je dois travailler en espagnol. Moi aucun problème. Mais j’ai naturellement plus envie de travailler en français, tout simplement.

Dimitri: D’accord, je vois. En tout cas ton parcours franchement, c’est la. C’est la reconversion rêvée. Ça veut dire que tu te reconvertis quand même dans un rythme. Je suppose que tu n’as pas subi justement. T’as pas de pression, du chiffre très imminente, avec le besoin de gagner de l’argent, de faire un salaire. Donc ça te permet de prendre le temps de bien choisir ta nouvelle direction, ta reconversion. Donc bon, j’imagine que parmi ceux qui nous écoutent, il y en a beaucoup qui aimeraient avoir ces conditions là. Si tu veux, pour pour faire une reconversion, est ce que par paradoxalement, ça aurait pu être contraignant ou te créer des obstacles? Parce que puisque finalement tu as un petit peu plus de temps et moins de contraintes. Moi je me connais, si j’ai pas les contraintes, je peux vite procrastiner. Comment tu as géré justement? Et comment tu penses cette reconversion là? Comment tu l’as vécu? Comment tu as organisé ça, Comment tu as fait en sorte pour que justement ça puisse avancer sans procrastiner alors que tu n’as pas les contraintes? Comment ça s’est passé?

Nicolas: Écoute, j’ai quand même un peu procrastiné je pense. Ce que j’ai appris en ces 20 derniers mois, j’aurais pu l’apprendre en dix mois ou en huit mois, ou en douze mois, je sais pas. Mais voilà, je faisais jamais des journées à full 7 h, de 7 h de enfin de 7 h de boulot. J’ai rarement fait ces trois dernières années des journées de 9 h à 18 h. C’était très très rare parce que j’ai pas l’obligation. Donc du coup c’est un peu difficile pour moi de naviguer entre. Cette absence de contrainte, mais cette envie quand même d’avancer. Et parfois je me culpabilisais pas mal de justement ne pas passer sept ou 8 h par jour. À bosser. Mais d’un autre côté, je profitais de pouvoir passer du temps avec ma fille, d’aller la chercher à l’école, de l’emmener à des activités. Donc euh. Donc on va dire que c’est une reconversion que j’ai vraiment fait à mon rythme, peut être un peu trop à mon rythme du coup, parce que je me suis mis aucune, je me suis pas vraiment mis des contraintes. Là je commence à m’en mettre un petit peu parce que l’argent commence quand même à s’épuiser et. Et je ne veux pas. Enfin, je veux. Je veux que ma progression dans le monde du freelance, dans les les les taux journaliers que je puisse demander à mes clients soit progressive. Je ne veux pas me réveiller demain en me disant Ah, j’ai plus rien sur mon compte, je dois demander directement 1 000 € par jour à un client. Non, évidemment, c’est pas possible. Je veux que ce soit progressif.

Dimitri: Oui.

Nicolas: Et du coup là, ça commence à être le moment où ce serait bien que je commence à trouver des que ma reconversion soit soit effective et qu’effectivement je commence à bosser quoi.

Dimitri: D’ailleurs, nous, c’est comme ça qu’on s’est recontacté. D’ailleurs, on s’est recontacté et ça a abouti à une

Nicolas: Tout.

Dimitri: Mission. on était super contents parce que tu nous as fait plusieurs outils, dont certains secrets qui ne servent que à l’équipe AEF, autoédition facile avec Ethan et Gwen et et aussi des outils, un super outil pour trouver plein d’infos à partir de la zine ou de l’ISBN d’un livre. Donc ça c’est un outil qui est public d’ailleurs. Donc je mettrai le lien en dessous, en dessous de cet épisode, Je n’aurais jamais cru pouvoir travailler avec Nicolas Daudin. Tu vois quand, Quand j’ai repris contact avec toi, c’était vraiment pour plus de la curiosité parce que je savais pas ce que ça voulait dire développeur backend. Et puis finalement, de fil en aiguille, je voulais que tu me donnes deux trois types sur comment, qui. Il faudrait que j’aille voir pour notre projet d’outil pour les auteurs. Et puis finalement on en est venu à travailler ensemble et et puis on a été ravis. Donc maintenant on n’attend qu’une chose, c’est de pouvoir relancer une nouvelle mission. Parce que bon, il y a plein de choses. Après, moi je t’ai déjà dit ce que j’avais pensé de ta mission, donc là je vais pas. Je veux pas trop m’étendre dans cet épisode là, mais effectivement, il y avait, il y avait plein d’éléments qui font que ça a bien marché et il y a vraiment un truc qui m’a, qui m’a plu et qui m’a marqué, c’est que qu’est ce que c’est facile en fait de travailler avec un développeur qui finalement était entrepreneur avant. Et donc souvent tu étais, tu exprimais mieux que nous même notre propre besoin parce que on sentait, tu vois que tu tu réfléchissais business à comment ça pouvait aider à développer la visibilité et l’audience d’autoédition. Facile donc cette réflexion là. Business pour la mission de développement que tu as réalisée pour nous, ça, je pense, ça a été vraiment un avantage concurrentiel énorme que tu auras toujours par rapport à d’autres développeurs qui ont jamais lancé un business.

Nicolas: Ouais, ça me permet déjà de ne pas être. En fait, je ne suis pas juste développeur. C’est. Enfin, je vais pas dire j’ai cette vision business que toi tu as. Parce que toi tu connais ton métier, tu connais ton business, c’est différent. Mais par contre je peux, ouais, je peux anticiper des besoins, je peux m’organiser,

Nicolas: me rappelle vous avoir donné une idée que je ne vais pas dévoiler ici, mais effectivement, vous étiez un peu surpris que ce soit possible. Euh. Du coup je vais pas la dire de ne même pas savoir ce que c’est, mais en gros, quelque chose que vous ne pensiez pas du tout que ce soit possible de construire et d’avoir à disposition et de pouvoir vendre derrière. Voilà. Et qu’en fait c’était pas si difficile que ça de récupérer ces informations, de récupérer beaucoup d’informations en masse pour les exploiter ou les vendre derrière. Voilà l’information de livres, de mots clés, de catégories, enfin, qui est vraiment une possibilité technique que vous ne connaissiez pas puisque du coup j’ai aussi cette connaissance technique. En fait, j’ai un peu de connaissances techniques, j’ai un peu les connaissances business, donc je sais, si tu me dis une landing page, tu me dis tu me parles de tes problèmes de compta ou de Voilà, je sais aussi des notions que moi je peux comprendre parce que j’ai eu ces soucis derrière. Euh. Tu me parles de tes mailing list avec du monde dessus, Tu sais pas si ça va convertir, C’est vraiment des trucs que je comprends et en plus c’est vraiment un sujet. Enfin toi tu fais du SEO pour les auteurs, donc c’était vraiment pas très éloigné de ce que je faisais. C’est juste que moi je faisais pas pour les auteurs mais. Donc c’est vrai que ça a beaucoup aidé je pense, a beaucoup aidé à travailler ensemble. Et puis ouais, je sais pas, c’était intéressant quoi.

Dimitri: Je le dis à ceux qui nous écoutent, qui veulent, qui ont une idée de développement d’outils pour leur business. Clairement, avec toi, ce qu’on obtient, ça fait coup double, c’est que tu as à la fois bien sûr le développement de l’outil, mais tu as pour moi, franchement, je pense avoir bénéficié d’un coaching de développement de business en même temps dans la même mission. Et ça, je t’en avais déjà parlé, mais

Nicolas: Ouais.

Dimitri: Vraiment pour moi, je me mets à la place de quelqu’un qui se lance. C’est un énorme avantage en fait.

Nicolas: Ben écoute, quand tu veux, on refait ça, c’est après l’été. Enfin tu sais que je suis dispo de toute façon. Donc voilà, si y a moyen de vous aider et même même si ça débouche sur rien ensuite de contractuel, mais moi je trouvais ça super intéressant justement de vous étiez ultra ouverts sur toutes les options possibles. Et aussi pour je te disais avant, le fait d’être développeur, pour moi c’est cool, j’aime bien ça parce que je peux créer et du coup le

Dimitri: On.

Nicolas: Fait de pouvoir parler avec toi et de voir que tu es ouvert à des idées, tu dis ah tiens, ça j’avais pas pensé à ça. C’est cool pour moi, ça ouvre un

Dimitri: Ah bah ouais.

Nicolas: Éventail de possibilités d’imagination presque sans limite et c’est super enrichissant. En fait, c’est super intéressant pour pour moi et du coup pour toi, parce que voilà, on peut penser à plein de choses. Alors que toi, un client plutôt lambda, une personne, un entrepreneur qui a peut être déjà, qui sait exactement exactement ce qu’il veut, ce qui a ses avantages aussi, évidemment. Je suis sûr que tu vas me le dire aussi, mais.

Dimitri: Pour toi

Nicolas: Mais

Dimitri: Surtout.

Nicolas: Ça peut être. Oui, voilà, ça peut être intéressant pour moi. Mais d’un autre côté, c’est vrai que ça laisse une marge de manœuvre très très faible. Et là, clairement, soit en besoin business, notamment parce que tu n’avais pas encore eu le temps de le creuser tant que ça. Parce que comme tu le disais, en fait, toi tu venais juste me poser trois questions et en fait tu as mis le doigt dans l’engrenage et j’ai tout pris Quoi?

Dimitri: Plus clair.

Nicolas: Mais.

Dimitri: Bah du coup tu m’as donné du boulot mais ça a avancé beaucoup plus vite. On peut pas se plaindre de ça, ça c’est clair. Mais effectivement, au départ, quand vraiment je t’ai contacté, c’était. C’était vraiment par pure curiosité, j’avais lu un de tes posts et puis de fil en aiguille, on a discuté et. Et six mois plus tard, notre outil auquel on pensait mais en rêve est devenu réalité. Donc ouais, c’est clair et puis voilà pour ceux qui nous écoutent en tout cas, je pense que ça vaut vraiment le coup d’avoir Nicolas Dodin qui vous aide à développer un outil ou développer. Je sais pas justement, peut être qu’on peut en parler, quel type de développement? Et puis aussi un point

Nicolas: Je.

Dimitri: Particulier, c’est que je me souviens déjà à l’époque souvent tu parles de vouloir travailler pour des entreprises à impact, comment tu vois? C’est à dire quel type d’impact? Qu’est ce qui te motive justement pour pour une mission, toi par exemple dans la nôtre, qu’est ce qui t’a motivé à part le côté créatif que tu viens d’expliquer? Maintenant, qu’est ce que tu recherches aussi? Tu veux que ton dev puisse servir à une entreprise à impact? Tu entends quoi par par ça?

Nicolas: Ecoute bon déjà moi je suis ce qu’on appelle un développeur backend, donc beaucoup de gens ne savent pas ce que c’est en fait. En gros, je développe j’implémente ce qui se passe, ce qui se passe dans le moteur. En fait moi je fais pas la carrosserie, je fais pas. Si vous allez sur le site, peu importe quel site d’ailleurs, je fais pas la partie visuelle on va dire, je fais ce qui se passe en dessous, donc toute la persistance des données. Imaginez, vous êtes sur un site de. Vous êtes sur le site de Dimitri, tout simplement Le site des catégories. Moi ce que j’ai fait en fait, c’est de récupérer. Bon du coup, pour le site de Dimitri, en fait, j’ai aussi fait la partie visuelle, mais le plus gros du boulot c’était de récupérer les informations depuis Amazon, de les de les de les condenser, de les agréger pour pouvoir sortir quelque chose de digérable par par une interface. Et donc ce que

Dimitri: Et

Nicolas: Je peux faire.

Dimitri: Puis combiné avec différentes sources

Nicolas: Voilà.

Dimitri: Aussi,

Nicolas: Combiner

Dimitri: Il

Nicolas: Différentes

Dimitri: N’y avait pas que

Nicolas: Sources,

Dimitri: Amazon.

Nicolas: Les mettre en forme. Voilà dans ton cas ce qui est en gros automatiser quelque chose que tu faisais déjà à la main avec Excel, mais c’est automatisé, donc c’est souvent ce que font les développeurs back end automatiser des process. Ils aident à rendre tout ça un peu lié, à joindre des sources de données ensemble, à les manipuler. Des sources de données, ça peut être tout et n’importe quoi, ça peut être la météo, ça peut être Google Maps, ça peut être les cryptos des bourses, la bourse, enfin des livres sur Amazon, ça peut être des sources de données pour tout, qui peuvent être digérables et du coup présentables et additionnées avec d’autres sources pour fournir une information on va dire spécifique.

Nicolas: à terme. Moi ce que j’aimerais bien effectivement, c’est de travailler enfin mon travail en gros et ai un impact. Donc ça c’est un mot un peu fort. Enfin, c’est pas un mot un peu fourre tout, mais c’est vrai que tout le monde maintenant dit qu’il veut, il veut avoir un travail qui ait du sens, non? Donc c’est un truc qui revient souvent, notamment quand on est sur LinkedIn.

Dimitri: Un. Oui

Nicolas: En fait, j’aimerais bien.

Dimitri: Oui, mais parce que c’est une vraie tendance de fond je pense. Il y a

Nicolas: Dans

Dimitri: Vraiment de

Nicolas: Le

Dimitri: Plus

Nicolas: Fond.

Dimitri: En plus,

Nicolas: Et

Dimitri: Surtout depuis le Covid.

Nicolas: Oui, et puis en fait ça a du sens. Depuis, on se rend de plus en plus compte qu’il y a des injustices. La crise climatique, enfin, c’est le gros bordel partout. On en parlait un peu avant en off. Honnêtement, j’ai pas toujours l’impression qu’on est sur le bon chemin. Donc il y a tellement de choses à résoudre, tellement de choses pour que le monde aille mieux. Et du coup c’est de se dire j’aimerais bien par exemple, j’aurais pas trop envie d’être un développeur backend pour H&M ou Zara ou je sais pas comment on dit en français Chin chin chin là, toutes ces marques

Dimitri: La

Nicolas: De

Dimitri: Chine n’enseigne.

Nicolas: Fast fashion qui derrière exploitent des gamins, qui qui proposent des produits bradés que les gens vont mettre, que j’ai lu une stat l’autre jour, les affaires, les vêtements neufs sont jetés en moyenne. J’ai halluciné là dessus mais au bout de 35 jours donc j’ai impossible. Mais bon, a priori c’est une statistique donc ça va être tiré de quelque chose. C’est une moyenne évidemment, mais bon, c’est à dire qu’il y a quand même des gens qui le font, un truc de dingue.

Nicolas: Par contre, voilà, travailler pour une entreprise dans l’habillage, mais qui est respectueux, qui utilise des coton bio faits en France, qui des vêtements qui sont fabriqués en France éventuellement par des personnes qui qui ont un certain handicap, tout ce côté Ou alors moi je ne serai que dev là dedans. C’est pas moi qui vais faire les vêtements mais me dire que c’est moi qui fait avant. Je peux grâce à mon travail faire avancer cette entreprise. Et en plus, comme je

Dimitri: Un.

Nicolas: Me considère comme une personne sérieuse, je me dis qu’ils peuvent tomber sur une mauvaise personne, sur un mauvais développeur qui s’en fiche un petit peu, qui pour qui c’est juste un job alimentaire ou sur moi qui suis une personne sérieuse, tu viens d’en témoigner et qui a envie de faire les choses bien. Et en plus c’est un sujet qui me qui m’interpelle. Voilà, c’est un petit peu, un petit peu ça. Après voilà, je vais pas non plus faire la fine bouche sur les. Sur ce qu’on me propose. Mais voilà, c’est à terme. C’est un critère qui est assez important pour moi. Et voilà. Et ce qui m’a plu de travailler avec toi surtout, c’est parce que je savais que tu étais quelqu’un de super sérieux. Je trouvais. Je trouvais ça ton projet intéressant. De base, je voyais qu’il y a du boulot, ça me paraissait. Je voyais qu’il y avait matière pour moi aussi à créer quelque chose depuis zéro. Parce que tu avais qu’un Excel, tu avais pas de ça, c’était pas de site web, tu avais rien si tu avais un site web, mais tu avais pas un process en cours automatisé en ligne que les gens que tes lecteurs auteurs pouvaient accéder. Du coup, moi j’aimais vraiment bien l’aspect de commencer depuis zéro, de pouvoir mettre un peu en place les technos sur lesquelles moi aussi je voulais progresser et est presque encore plus important. C’est vraiment le fait de savoir que toi tu es un mec sérieux quoi. Et honnêtement, c’est ça peut être vous surprendre, mais des clients en fait, c’est comme les freelances, tu peux avoir des bons clients, des mauvais clients. C’est comme les chasseurs. Du coup tu peux avoir des bons et des mauvais

Dimitri: Ouais.

Nicolas: Chasseurs pour avoir des bons et des mauvais freelances et des des bons clients, des clients qui sont respectueux

Nicolas: et c’est un peu cet aspect là, tu vois, c’est de travailler ensemble. Et c’est un peu aussi en fait, quand tu es freelance, tu as tellement peur de tomber sur n’importe qui, n’importe quel type de mission, des missions un peu avec des trucs cachés du style euh, vous ferez tout depuis zéro, mais en fait tu as déjà de l’existant qui est mal foutu que tu dois débugger ou bien c’est du full remote, mais en fait vous venez quand même tous les lundis matin ou bien? Et en fait non, toi tu avais

Dimitri: Ça

Nicolas: L’air d’être.

Dimitri: C’est le nouveau truc à la mode, c’est full remote en présentiel. Ça

Nicolas: Voilà,

Dimitri: C’est

Nicolas: C’est pas du full

Dimitri: C’est

Nicolas: Full

Dimitri: Nouveau

Nicolas: Remote,

Dimitri: Ça,

Nicolas: C’est

Dimitri: Ça.

Nicolas: Juste du full remote. Voilà. Euh. Donc toi tu étais, tu étais legit comme on dit en anglais, tu allais pas, tu allais pas du tout me le mettre à l’envers. Et mine de rien, ça c’est tellement important quoi. Donc il

Dimitri: Bon

Nicolas: Y a aussi

Dimitri: Bah merci,

Nicolas: Ce fait là.

Dimitri: Ça me fait une bonne réputation

Nicolas: Non,

Dimitri: Pour

Nicolas: Carrément

Dimitri: Les prochaines missions

Nicolas: Pas. Mais tellement

Dimitri: En

Nicolas: Quoi?

Dimitri: Tant que client.

Nicolas: Ça, mais tellement.

Dimitri: Ouais non mais c’est hyper important ce que tu dis Et et Et c’est incroyable je trouve. Moi je le vois du point de vue client, mais j’ai aussi été freelance et je suis encore freelance et. Et toi? J’étais freelance en rédac en plus, donc j’ai vu beaucoup beaucoup. J’ai fait beaucoup de micro missions sur des petits textes à droite à gauche à une époque et c’est clair que tu vois qu’il y en a certains qui viennent vraiment avec l’idée de presser le citron au maximum

Nicolas: Voilà, exactement.

Dimitri: Et puis et puis oups, c’est pas sérieux, c’est clair. Et moi je me souviens aussi qu’en tant que client, c’est bête, mais une des faciles manières de différencier et d’avoir des gens qui font du super boulot quand tu, quand tu as une commande, c’est de remercier, c’est d’être sympa, pas pour être sympa, mais juste être sincère. Tu vois, moi je l’ai appris en management en fait, parce que c’était mon job d’avant et en tant que manager, si tu avais des résultats, moi si j’avais des résultats au niveau d’une équipe, c’était grâce aux idées des personnes qui étaient dans l’équipe et je trouvais normal que toi ils soient récompensés, féliciter, remercier. Et donc j’ai adopté la même approche quand j’ai confié du travail à des freelances et j’ai senti que ça faisait une différence. Tu vois, c’est marrant parce que du coup, les gens comme tu as beaucoup de gens, de clients qui ne sont pas dans cette approche là, qui sont plus dans ok, ben j’ai ça à faire, tu peux me le faire pourtant. Et puis si c’est moins cher, ça serait mieux, si c’est plus rapide ça sera mieux et puis c’est tout quoi. Et tu fais le boulot, Les gens ils te disent à peine ok, merci et ça s’arrête là. Et tu sens que de toute façon t’as pas envie de retravailler a vec eux quand tu es le côté freelance.

Dimitri: Donc j’essaye vraiment que les gens soient au même niveau d’info quoi, tu vois. Parce que, et c’est à ce sens là pour moi que du coup tu deviens un partenaire, mais c’est vraiment au sens, tu vois, t’as pas besoin d’être associé dans une vraie société pour avoir ce sentiment d’être partenaire ou de faire partie d’une équipe, ou de donner le sentiment à des personnes qui travaillent avec toi qu’il y a un esprit d’équipe et qu’on est partenaire et et ça change vraiment tout dans le dans le quotidien et dans les résultats que tu peux obtenir.

Dimitri: J’ai fini ma grande tirade.

Nicolas: C’est bon maintenant, mais je suis 200 % d’accord avec toi et. Et en fait, je pense que c’est juste se comporter en ce qui se passe en France et des salles en Belgique qui disait il parlait, il y avait une expression qui était se comporter en bon père de famille en fait. Et ça fait un peu penser

Dimitri: Un.

Nicolas: À ça en fait. C’est juste c’est du bon sens quoi. C’est c’est faire les choses bien proprement, c’est traiter les gens un peu com me tu aimerais qu’ils te qui te traitent en retour. moi ça me donne envie de faire un effort extra. Parce qu’en fait, malheureusement, je pense que c’est pas la norme en fait d’être d’être respectueux tu vois, d’être respectueux des autres, que ce soit les autres personnes, les que ce soit les autres, les employés, les gens que tu croises dans la rue, d’autres travailleurs, les travailleurs sociaux, ceci, cela, toi.

Dimitri: Je

Nicolas: Ce soir,

Dimitri: Vous.

Nicolas: Ça va beaucoup plus loin. En fait, c’est une histoire de respect. Et du coup. Ben tout de suite, moi j’ai senti. Déjà, on avait fait un podcast ensemble, tu sais déjà comment la personne. C’est con, hein, mais on a déjà parlé par email. Tu sens déjà que la personne je voyais déjà que t’étais pas du style à vendre des bitcoins et des cryptos à court terme, c’est de me vendre la lune. Toi tu étais plutôt sur du long terme, sur du sérieux. Ça c’était il y a quatre ans. Donc je sais bien que t’as pas changé. Tu me parles d’un projet, je vois que tu as l’air intéressé, tu as l’air open, c’est intéressant. Enfin, ça aurait été, ça aurait été presque dommage de ne pas accepter. Enfin, ça aurait été dommage de pas accepter et. Et vraiment cet aspect, savoir qu’on va travailler entre personnes, en fait, c’est c’est un peu cet aspect. Moi, je me considère comme une personne sérieuse et rigoureuse et intelligente et du coup j’ai envie de travailler avec des personnes qui sont sérieuses et rigoureuses et intelligentes, je veux dire, mais ça veut dire notamment se traiter avec respect, c’est à dire respecter l’autre personne, c’est comprendre aussi l’autre personne. Et du coup toi tu comprenais. Mais peut être que j’avais pas te répondre ou résoudre le bug tout de suite. Et moi je comprenais que tu étais peut être pas forcément le budget pour me payer comme je voulais, mais on a trouvé un terrain d’entente. Et toi c’est un peu c’est ça aussi quoi. C’est vraiment. Je suis aussi, je suis aussi parti sur une tirade, je sais pas comment la terminer du coup, mais bref.

Dimitri: Non mais c’est marrant qu’on reparte justement un peu. On est un peu enflammés par ce par ce sujet là. Mais effectivement, il y a le côté un peu, c’est plus du ressenti, là c’est plus, c’est plus dans le côté que carré rigoureux. Il y a aussi vraiment cette notion de feeling où tu sens que ça va bien se passer avec la personne. Et puis ouais, moi je préfère faire. Je fais très peu en fait. Appel à des à des prestataires ou à des à des freelances. Déjà aussi parce que pour le moment, tu vois, j’aime bien aussi le côté solopreneur,

Nicolas: Bon.

Dimitri: C’est compliqué parfois. Et moi ça m’a aussi un petit peu quand tu travailles avec quelqu’un justement, si tu veux en obtenir vraiment, si tu veux que ça devienne un travail intéressant, il faut aussi que ça le soit pour la personne. Et c’est là où tu es un peu obligé aussi d’accepter que c’est pas forcément tes idées, tu vois. Et donc ouvrir un peu plus la porte comme on a fait je pense, mais on l’a fait naturellement. Après moi il y a le côté aussi côté où je racontais à l’équipe Ouais, vous croyez, vous allez pas me croire. Il y a Nicolas Daudin qui va peut être faire un outil pour autoédition facile en mode fan de vaisselle argent et ça me paraissait pas crédible, tu vois. Donc au début c’était aussi trop bien. Et puis moi c’est ça qui était cool aussi. C’est pour ça aussi que je t’ai laissé un petit peu plus. Tu vois, j’étais pas trop cadré, j’étais pas trop cadré, j’aurais pas pu me permettre de te cadrer même sur les sujets business. Alors que toi, pour moi, depuis qu’on a fait cet épisode de podcast, tu vois, ça fait, tu fais partie. J’ai dû souvent avoir les oreilles qui sifflent parce que j’ai souvent cité ton nom comme exemple à suivre. Tu vois, avec ton site ABC argent, C’est clair que ce que tu avais fait avec ce site là, moi je m’en suis beaucoup inspiré sur la démarche. Tu vois, je t’ai pas copié collé ton site du tout parce que c’est pas en plus tout à fait les mêmes thématiques. Mais

Nicolas: Hum.

Dimitri: Mais ouais ouais, pour moi. Donc. Donc c’est peut être pour ça que j’ai été dans cette attitude là. Mais effectivement, je pense que c’est c’est important quand tu travailles avec quelqu’un justement, d’être proposé, Alors tu as des personnes qui n’auraient pas eu le même répondant, tu vois, je pense que toi, tu avais ce côté créatif qui était intéressant. Alors je sais que des fois, moi j’ai des freelances d’un autre côté qui ça les saoule parce qu’ils ont trop de portes ouvertes en fait, ils

Nicolas: Ouais.

Dimitri: Ont besoin d’un truc plus cadré et c’est compliqué avec moi. Parce que tu vois comme cette tirade d’un seul coup, poum, ça part dans 1000 directions possibles. En tout cas, c’était vraiment une super expérience et je pense qu’on va renouveler ça après. J’espère juste que ce podcast va pas faire en sorte que tu n’auras plus de dispo parce que tout le monde va vouloir bosser avec toi. Donc il va falloir que je me booste un petit coup avant de sortir cet épisode, histoire d’avoir encore la possibilité parce qu’on a encore plein d’autres projets à développer avec le avec le site où tu as commencé à nous aider. tout à l’heure, je t’ai posé des questions qu’anticipait un peu celles que j’avais prévue plus tard sur toi. Je te demandais comment ton expérience d’entrepreneur a influencé ton travail de développeur. On en a un petit peu parlé par rapport au ressenti que moi j’ai eu sur la mission qu’on t’avait confiée avec auto édition facile. Mais justement, qu’est ce que tu penses? Tu as appris grâce à l’expérience. On a parlé argent. Tu avais déjà un diplôme d’ingénieur avant, tu avais. Tu avais déjà du dev, donc tu avais pas. Tu as pas juste réussi. T’as pas commencé ta vie professionnelle avec ABC Argent non plus, mais de ton expérience d’entrepreneur vraiment à 100 % quand tu étais sur ABC Argent. Qu’est ce que tu penses vraiment Ted aujourd’hui dans cette reconversion? Quel mot tu vois? Quelle compétence finalement utilisé et utilisable et utilisée dans ton parcours et qui t’aide aujourd’hui à changer complètement de voie?

Nicolas: Tout ce qu’on a touché il y a quelques minutes sur ma manière de travailler, tout simplement. Et aussi, il y a un aspect un peu curieux, mais un des trucs qui est beaucoup plus quand j’étais blogueur, c’était que j’étais assez transparent sur mes revenus, en tout cas au début du blog, après un peu moins, mais j’étais assez transparent sur mes revenus. J’ai même une des raisons que le blog c’était vraiment fait connaître et booster. C’est parce que j’avais été interviewé sur Rue89, parce que notamment, j’avais vraiment dévoilé les revenus du blog en long et en large. Et cette transparence est beaucoup plus. Parce qu’en fait, en France, on n’aime pas trop parler d’argent et

Dimitri: C’est.

Nicolas: Du coup ça m’a. Ça me guide un peu maintenant au quotidien où j’essaie justement d’être transparent. Là, je suis en train de commencer par exemple un side project en dev et je me dis est ce que je ne vais pas en partager les étapes sur LinkedIn? Ça s’appelle du building public. Il y en a plein qui le font aussi maintenant,

Dimitri: Un.

Nicolas: Mais c’est un truc qui plaît beaucoup en général. Et c’est vrai que c’est un truc que j’ai appris avec le blog.

Dimitri: Et que

Nicolas: Voilà.

Dimitri: Tu aimes bien faire. Moi, j’ai l’impression que tu aimes bien. C’est comme ça en fait que je suis heureux. J’ai repris contact. Je suis retombé sur un de tes billets, sur un de tes posts sur LinkedIn

Nicolas: Hum.

Dimitri: Et Bon ben moi j’étais accroché par le storytelling.

Nicolas: C’est.

Dimitri: J’étais content de lire aussi, de savoir un peu ce que tu étais en train de faire. Et ouais, c’est sympa parce que tu te montres même ton setup. Il y en a un qui a bien fonctionné je crois.

Nicolas: Mais

Dimitri: Tes

Nicolas: Il a su faire fonctionner

Dimitri: Posts,

Nicolas: Ce

Dimitri: C’était

Nicolas: Là.

Dimitri: Celui où tu avais une bière. Tu étais sur la terrasse en mode digital nomade

Nicolas: Ouais,

Dimitri: À

Nicolas: J’étais

Dimitri: La maison.

Nicolas: Un nomade, mais à la maison quoi. Digital sédentaire? Comme c’est toi qui m’a dit une fois ou un autre pote digital sédentaire.

Dimitri: Je vais le déposer digital

Nicolas: Non

Dimitri: Sédentaire.

Nicolas: Mais en fait c’est ça. Enfin ouais, je suis pas. Je suis pas un digital nomade. J’aurais pu l’être à l’époque, quand j’étais avec le blog. J’aurais clairement pu vendre un lifestyle du style un mois tous les mois dans un autre pays. Mais en fait moi personnellement ça m’intéressait pas de faire ça quoi. J’ai fait, je suis parti, je suis en train de partir de côté, mais je veux revenir. Je suis parti deux mois au Vietnam, je suis parti un mois en Nouvelle-Zélande. Mais en fait, à chaque fois, à un moment, j’avais envie. Déjà, j’avais pris mon ordinateur parce que je devais travailler un petit peu et surtout, à un moment, j’avais envie de revenir à ma vie, à mon quotidien quoi. J’avais ma vie, mes potes, ma. J’étais parti avec, avec ma compagne. Mais voilà. Donc le digital nomade, c’est très très hype, mais bon. Tout ça pour dire que sur LinkedIn, ouais effectivement, j’ai fait un peu de storytelling, enfin mode ultra débutant. Et pour revenir à ta question, ce qui m’a surtout aidé en fait. Parce qu’en fait, quand tu es, quand tu es freelance, tu as un micro, enfin c’est ta propre entreprise quoi. Toi tu es, tu es ta propre entreprise, tu dois te vendre, tu dois gérer ta compta, tu dois te former, tu dois penser à.

Nicolas: Tu dois penser à te former. Quand Quand on se dit c’est ton entreprise qui te forme ou qui te paye des formations, c’est elle qui pense à tout ça. Toi, tu dois vraiment penser à tout ça, à gérer ton tes, tes revenus, ton budget, tes dépenses, faire de la prévente comme j’ai un peu fait avec toi, du commercial, du marketing, te faire connaître sur LinkedIn, prospecter. J’ai fait des appels découverte avec des enfin tu vois, c’est vraiment des trucs. Quand t’es quand tu cherches un cdi, tu cherches un cdi. Tu dois évidemment te faire connaître aussi, mais une fois que tu l’as trouvé, c’est fini en freelance. Même si je suis en plein milieu d’une mission, je devrais peut être commencer à chercher une autre mission, à maintenir un petit peu mes réseaux sociaux, à faire gaffe à ma compta parce que peut être que mon client va me payer dans deux mois, mais peut être que je suis en train d’arriver au final de mes de mes, de mon matelas.

Nicolas: J’ai pas autant de casquettes quand j’étais entrepreneur, mais j’ai quand même pas mal de casquettes à gérer. Tu le sais, tu es solopreneur, donc il y a quand même pas mal de choses à penser. Alors du coup, c’est vrai que souvent les salariés comprennent pas les taux exorbitants des freelance, mais en fait un freelance, il doit vraiment penser à tout. De même penser à qu’est ce qui se passe si je n’ai pas de mission pendant six mois? Ah mais du coup, peut être que je dois me vendre un certain prix pour anticiper le fait de ne pas avoir de mission ou pour anticiper que l’été il n’y a rien ou pour anticiper que les jours fériés. Tout simplement. Je ne suis pas payé les vacances, je ne suis pas payé. Enfin, il y a plein de. Il y a plein de mécanismes

Dimitri: Ça. Tu

Nicolas: Qui

Dimitri: Connaissais

Nicolas: Font.

Dimitri: Déjà ça? Parce que moi c’est vrai que bon, là je suis vraiment full entrepreneur et tout ça en fait, je l’ai découvert un peu au fur et à mesure. Je rebondis juste sur le truc des jours fériés. C’est bête mais moi j’avais été salarié toute ma vie. Maintenant je suis vraiment 100 % freelance. Ça m’a fait mal. Les jours fériés, je voyais ma femme qui était contente parce qu’elle avait son jour off et moi en fait, je me rendais compte que, en fait, c’était un jour s’ils étaient off de mon côté et c’était presque qu’à zéro donc

Nicolas: Ben ouais,

Dimitri: Bon.

Nicolas: C’est ça.

Dimitri: Sauf si tu as des revenus passifs et heureusement.

Nicolas: Pour.

Dimitri: Mais ouais mais oui. Donc en fait tout ça, toi tu. Finalement, c’est presque un rôle que tu connaissais déjà avec ABC Argent peut être moins passif, du coup tu es obligé d’être un peu plus actif, mais tu as quand même pas mal d’éléments que tu viens donner là, de communication, de comptabilité, de planification, de découverte finalement, des choses que tu as pu toucher un peu du doigt, ou tu savais déjà à l’avance que c’était important.

Nicolas: Mais oui, mais exactement! Moi ça m’a l’expérience. De plus, au delà du simple fait d’être, pardon, d’être blogueur, c’est vraiment l’entrepreneuriat, tout ce qui est autour qui fait que ouais, j’ai appris plein de choses. En fait, on apprend toujours des skills un peu externes quoi. Et du coup, par exemple, tu vois, là, quand je me mets en avant. En tant que dev. Du coup, je ne dis pas que je suis dev senior parce que sur sur mes langages je viens de commencer, j’ai à peine de l’expérience donc je ne suis pas du tout senior. Par contre, je ne suis pas du tout junior non plus parce qu’en fait j’ai une expérience derrière d’entrepreneur, d’ingénieur. Avant, J’ai plein de choses qui gravitent autour du fait de faire du code toi. Il y a clairement plein de gens qui sont bien, bien

Dimitri: Sont.

Nicolas: Bien meilleurs que moi en code ou en dev. Qui que tu m’as demandé de faire te l’aurais fait? Moi j’ai fait ça tranquillement, à mon rythme. Encore une fois, c’est pas en un mois et demi, un mois, un mois et demi, deux mois peut être. Enfin, c’était un accord entre nous deux, il n’y a aucun soucis. J’ai fait ça à mon rythme. Tu n’avais pas d’urgence, mais clairement un autre dev beaucoup plus. Skilled on va dire. Ils aurait fait ça en une semaine ou deux à la rigueur. Par contre, après, ils auraient

Dimitri: Ouais,

Nicolas: Peut être

Dimitri: Mais

Nicolas: Pas apporté la

Dimitri: Ça

Nicolas: Vision

Dimitri: Serait

Nicolas: Business.

Dimitri: Peut être pas le même outil du tout.

Nicolas: Ce serait pas le même outil, ce serait peut être complètement buggé derrière. Donc il n’y a pas cette rigueur derrière que j’ai aussi appris avec le blog. Du coup, j’ai appris dans mes expériences antérieures. Ils auraient pu communiquer en amont et en aval. Toi même, là, c’est moi qui t’ai fait un rappel ce matin pour un truc. Attention, fais attention dans quelques jours et peut être ça qui va arriver. Voilà.

Dimitri: Tu pourras le vendre à tes clients comme prestations récurrentes. Les petits rappels qui vont bien quand toi tu es noyé sous 1000

Nicolas: Pour.

Dimitri: Trucs. C’était très apprécié.

Nicolas: Non, mais je me protège aussi. Je préfère que tu regardes maintenant plutôt que si tu me dis dans quatre jours que ça ne marche plus alors qu’on aurait pu l’anticiper. Evidemment, ça m’arrange pas non plus. Mais. Mais malgré tout, toi, c’est quelque chose que j’ai anticipé. Pas forcément. Tout le monde l’aurait fait quoi. Pour moi, le on va dire que c’est ce qui fait que je suis plus qu’un développeur et c’est un peu l’aspect entrepreneur. Je pensais que le travail est jamais est pas terminé quand on Quand j’étais livré, il y a toujours du c’est beaucoup plus que ça. C’est pas juste un produit ou un bout de code, c’est c’est tout ce qui est autour quoi. Moi j’étais plus que le mec qui écrivait sur ABC Argent.

Dimitri: Oui,

Nicolas: Voilà.

Dimitri: Bien sûr, c’était. Et c’est intéressant parce que vraiment, ça prouve quand même que dans le cas d’une reconversion, en fait, tu repars pas vraiment à zéro. tu as plein d’expérience en amont du développement qui font que tu peux assurer la réussite d’un projet de dev mais avec plein de compétences autres qui n’ont rien à voir avec les compétences techniques que tu es en train d’acquérir quand tu te reconvertis. Et ça, je pense que c’est vrai pour toutes les reconversions. je trouve que ça, ça libère énormément quand tu es dans une reconversion ou quand tu veux te lancer dans une reconversion, c’est que tu redémarres jamais à zéro. Bon, moi j’ai encore par exemple un projet de reconversion. J’en ai parlé en blaguant en off, mais en fait c’est vrai et certainement quelque chose d’artisanal et je suis persuadé que bien sûr, je vais devoir réapprendre toutes les techniques. Donc là je serai vraiment le pur débutant, le pur débutant. Par contre, je sais que si je me lance là dedans, je vais aller au bout parce que j’ai déjà mené des projets, je sais travailler sur le temps long, je sais m’organiser, je sais anticiper les choses, prévoir le budget. Enfin bref, y a plein de choses qui peuvent te permettre de compenser et qui font que quand tu te reconvertis, même dans un nouveau domaine, en fait jamais vraiment un junior.

Nicolas: Non, en fait, t’as toujours plein de soft skills. Qui servent. Et c’est vrai que parfois c’est un peu dur de les identifier. On se dit toujours ah, notamment dans le dev qui est un truc très technique. En tout cas de prime abord, c’est très technique et il faut absolument que je soit un master, un super maître, un super bon dans tel langage, mais en fait c’est beaucoup plus que ça. Et tout ce qu’une reconversion, une reconversion. En venant d’un univers différent, on aura approché des personnes différentes, on aura peut être managé, on aura peut être été au contact de clients directement, de users, de plein de choses qui font que ça. On apporte plein de skills sur la table qui seront qui honnêtement seront jamais sur une fiche de poste mais qui pourront peut être faire la différence au moment de signer un contrat, un cdi ou une mission Quoi. Et.

Dimitri: Ouais, et tu viens de dire un truc hyper important, c’est que parfois on ne s’en rend pas compte de ces skills. Et toi tu les as, tu les as identifié tout de suite et c’était clair pour toi. Où est ce que tu as fait appel à moi? Tu vois la chose qui me viendrait je pense si je fais ça, c’est d’aller voir. Il y a vraiment plein de structures, en particulier en France, avec des gens très compétents pour faire des bilans de compétences, pour utiliser différents outils, différentes méthodes et outils, justement pour repérer ce genre de choses. Là, toi tu as, tu as ressenti le besoin de faire ça ou tu étais déjà autonome dans ton coin et t’avais pas besoin, tu étais

Nicolas: Zéro.

Dimitri: Déjà vraiment conscient de ça.

Nicolas: En début janvier, j’ai ressenti le besoin de. Comme je m’approchais de la date que je m’étais fixée pour vraiment commencer à me lancer en freelance, à me publier sur les plateformes, à publier sur LinkedIn, j’ai ressenti le besoin de faire le point, un peu techniquement et surtout sur tout le reste quoi. Sur notamment sur les soft skills, sur ma manière d’être, sur comment approcher les entretiens et tout. Et de fil en aiguille, j’ai trouvé un coach qui m’a notamment permis d’identifier. Il appelait ça, il appelait ça de l’archéologie. Et il m’a dit en gros on va faire de l’archéologie sur tout ce que tu as fait avant, avant, maintenant, quoi que ce soit, le blog, que ce soit être papa, que ce soit quand tu étais, quand tu étais. Les quatre dernières années que tu as bossé à Madrid avec un job qui était franchement pas foufou. Mais il y a forcément des choses que tu as appris là dedans, que tu peux réutiliser, que tu peux mettre en avant. Et c’est un petit peu ce qu’on a appris à faire, ce qui m’a. Ce qui m’a aidé à faire. Parce que moi, clairement, quand j’ai commencé ma reconversion, je me disais merde quoi, je retourne au dev. Donc en gros, le recruteur il va, un recruteur va voir que oui, certes, j’ai fait huit ans de dev jusqu’en 2015, mais après j’ai un trou où j’ai rien fait, j’ai fait autre chose, j’ai fait du blogging, du blog et ensuite je me suis occupé de ma fille en gros.

Nicolas: Et je voyais ça en fait que comme des points négatifs et il m’a fait comprendre. Bah non en fait ça donne une richesse de dingue. Forcément, il y a des recruteurs que ça va rebuter, mais façon c’est probablement pas les boites où tu vas aller. Par contre celles qui trouvent que tu as un parcours intéressant, qui veulent creuser, c’est là où tu vas vraiment faire la différence. Parce que toi tu as. Tu as la tête bien faite et pas juste un dev. T’as eu plein de situations, de vies différentes, Tu as es entrepreneur, tu es papa, tu as fait du dev dans plusieurs pays, dans plusieurs contextes. Et en fait il y a plein de choses que tu peux apporter qui ne seront pas forcément sur une fiche de poste mais mais qui peuvent faire la différence. Et c’est un peu lui qui m’a, qui m’a, qui m’a, qui m’a fait voir tout ça.

Nicolas: Et d’ailleurs il me disait un truc qui me paraissait très intéressant. J’ai toujours pas fait par ailleurs, mais il me disait voilà, je. Je sais pas si faire un portfolio donc c’est vraiment un site web de présentation d’un profil, c’est pas juste un cv en ligne, c’est vraiment tu te présentes sous tes plus beaux jour? Je sais pas trop le faire en fait il me disait déjà un tu devrais le faire et en plus tu devrais faire. C’est toujours une carte de présentation, c’est très bien et en plus tu ne devrais pas le faire en te présentant tel que tu es maintenant, mais plutôt tel que tu. Tu serais en 2025 ton idéal à toi. Genre présenté comme le dev par exemple le dev backend qui qui travaille que avec les entreprises à impact impact social ou à impact environnemental. Tu vois vraiment te présenter comme ça en mettant en avant tout et tout et tout et artskills mais aussi tout les soft skills que tu as acquis et que tu as a redécouvert via ton archéologie. Il me disait vraiment de il mettait l’accent sur tout ce que pas que le pur technique. Quand on est dev on pense toujours souvent qu’aux

Dimitri: Un.

Nicolas: Pures techniques. Mais en fait des mecs qui ont que de la technique, il y en a des dizaines de milliers qui sortent tous les mois de bootcamp.

Nicolas: on a plein de soft skills à identifier peut être, mais qu’on a vraiment et et c’est ça qui peut faire une différence, notamment en cas de reconversion. Donc si vous nous écoutez, vous pensez à vous reconvertir, mais carrément, allez y, vous savez plein de choses que vous, que vous qui se vont seront utiles dans votre future profession. C’est sûr, c’est sûr.

Dimitri: Même pour pendant la reconversion je pense. Rien

Nicolas: Oui.

Dimitri: Que sur le fait de t’organiser sur la motivation, sur plein de choses que tu as déjà réalisé des choses, tu as déjà atteint des objectifs, mais c’est intéressant. En plus, tu vois, toi qui a quand même pour moi, c’est vraiment l’image du blogueur qui réussit. Et finalement tu as quand même réussi aussi à te remettre en question, à te dire j’ai peut être besoin de me faire accompagner, d’avoir un coach pour me rendre compte de tout ça.

Dimitri: Je trouve ça hyper malin je trouve. Tu vois, on pourrait être tenté. Moi par exemple, ça fait un moment que je me dis qu’il faudrait que je prenne un coach. Bon, j’ai pas encore franchi le pas, je pense que je vais le franchir. Là j’avais vraiment trop la tête dans le guidon, mais je trouve toujours que c’est hyper intelligent de la part de quelqu’un qui a pourtant réussi et qui va se faire accompagner, tu vois, pour un nouveau challenge.

Nicolas: Ben déjà, je comprends qu’il y a des gens, beaucoup de gens que ça rebute parce qu’en général, un coach c’est un. C’est un investissement financier important. Ça dépend

Dimitri: On.

Nicolas: Du coach évidemment, mais ça peut. Voilà, ça peut, ça peut vite monter. Donc ça, ça peut rebuter, C’est comme, c’est un peu comme en fait, c’est un peu comme aller chez le psy quoi. Tant que tu n’y vas pas, tu te dis c’est bon, je peux m’en sortir tout seul et une fois que tu y vas, tu dis ah ouais quand même. Putain, il m’a fait voir ça de telle manière. Ah ouais, là il m’a dit ça, j’y avais pas pensé. Et en fait, tu te rends compte à quel point un avis extérieur professionnel peut vraiment te faire passer des étapes? Le coach en soi, mon coach que je peux, je peux. Il s’appelle Charlot Allizard. Il est sur LinkedIn. Il est super cool. Il m’a rien appris de nouveau. Il m’a juste fait voir les choses de manière différente. Il m’a mis le doigt sur des trucs que j’avais pas vu. Il m’a. Il m’a donné une perspective différente et vraiment super intéressante sur plein de choses. Euh. Il m’a fait réfléchir surtout, il m’a fait réfléchir sur plein de choses, sur moi, sur sur mon passé professionnel, sur mon futur professionnel, sur ce que j’envisageais de faire, sur comment je voulais me vendre, sur pourquoi j’avais fait tel choix. Un coach, il va pas te dire fais ça, fais ci, fais ça, il va te prendre la main, il va te, il va te guider. Et c’est ça qui est génial en fait. Parce que le mec qui dit fais ci, fais ça, il se trompe. T’es vraiment dans la merde. Par contre, il te guide, il t’aide à te poser les bonnes questions, C’est là, ça fait une grosse différence et c’est le but. C’est ce que doit faire un bon coach.

Dimitri: T’aider à te poser les bonnes questions.

Nicolas: Voilà. Après c’est vrai qu’il va pas te. Il n’y a pas de tout prémâché, c’est pas son but. D’ailleurs c’était marrant parce que le premier call que j’ai eu avec Charlo, il me disait C’est un peu ça qui m’avait convaincu d’aller avec lui. Il m’a dit, il disait voilà, je vais te poser des questions, ça va peut être pas te faire plaisir cette question, je vais te rentrer dedans, ça va te faire chier, mais honnêtement, on doit en passer par là. Parce que si je te rentre pas dedans, si je te masse dans le sens du poil, tu vas pas avancer. Et si tu avances pas, moi non plus en fait, ça sert à rien. Donc faut vraiment que je te mette en face de tes contradictions, faut que je te fasse réfléchir et c’est comme ça qu’on va avancer ensemble. Et c’était génial

Nicolas: C’est Charlot à Lisa. Alisdair

Dimitri: Ah

Nicolas: Je te

Dimitri: Oui,

Nicolas: Passerais.

Dimitri: J’ai vu Charles. Louis, Lisa.

Dimitri: Je mettrai le lien aussi dans l’épisode de son LinkedIn ou

Nicolas: Ouais.

Nicolas: Son LinkedIn, sur LinkedIn, je pense que c’est très bien, mais.

Nicolas: Pour

Dimitri: Ok.

Nicolas: La petite histoire, en fait, j’ai découvert via un bloggeur que je suivais notamment sur les sujets tech et sujets freelance Hop! En fait, ça faisait longtemps que je le suivais, qu’il proposait des formations pour devenir, pour aider à devenir freelance un peu, pour passer les barrières psychologiques surtout. Et en fait, dans les différentes formules d’accompagnement, il y a notamment la formule la plus complète c’est un accompagnement avec le coaching de Charlo. Et donc au final, après y avoir beaucoup réfléchi, c’était quand même un investissement financier un peu plus important. Mais je me suis, je me suis presque dit écoute, au point où tu en es, tu n’as pas encore tenté grand chose, ça peut te débloquer quelques petits trucs dans le coaching. Et puis au pire, bah voilà, c’est un investissement sur toi, c’est toujours il y aura forcément quelque chose que tu vas, tu vas, tu vas y gagner. Et c’était une très bonne décision. Quoi, C’est. Et c’est vrai que j’étais allé sur la page de vente de Charlo et c’est sa manière de se présenter, de communiquer. Ça m’avait justement ce côté un petit peu je te rentre dedans, ça m’avait pas mal convaincu quoi.

Dimitri: Je t’avais parlé.

Nicolas: Et voilà. Après des coachs, y en a plein. En tout cas, Charlo, je ne peux que vous le recommander. Et ça débloque. Je ferais peut être appel à Charlo dans le futur à nouveau. Pourquoi pas. Je sais que maintenant il peut me débloquer. Je pense qu’il propose plus de travail sur le moyen long terme, mais en tout cas de manière de manière générale,

Nicolas: Si tu as l’occasion et tu as envie d’investir du temps, un coach c’est un investissement en argent et en temps et presque plus en

Dimitri: Oui.

Nicolas: Temps j’ai envie de dire. Je te recommande chaudement de faire appel à un coach, Que ce soit Charlo ou un autre, ça peut vraiment, ça peut vraiment t’ouvrir plein de pistes que tu n’avais même pas envisagé jusqu’à maintenant. Des pistes de business, des pistes de mindset, des pistes d’organisation, d’organisation ou d’organisation avec tes partenaires, ça peut vraiment t’ouvrir les yeux sur plein de choses. Parce qu’au final, tu me dis souvent que tu es un peu comment dans la tête, dans le guidon. Du coup, ça peut

Dimitri: Ouais

Nicolas: T’aider

Dimitri: Ouais,

Nicolas: À.

Dimitri: Ouais, c’est clair. Ça fait un moment que je me le dis et j’ai déjà fait appel à un coach, mais maintenant ça commence à remonter. Effectivement, c’est pareil. Si tu as des questions qui te font réfléchir et c’est bien le but et ouais, ça te fait vraiment progresser. Donc moi c’est clair que c’est prévu au programme. Et bon, là c’est c’est un peu le serpent qui se mord la queue. J’étais dans la situation là, ça y est, ça se décoince un petit peu, mais j’étais dans la situation parfois où tu sais comme celui qui est ici, qui est le bucheron, qui continue à scier alors que ça s’y est mal aiguisé

Nicolas: Hum.

Dimitri: Et qui dit qu’il a pas le temps d’aiguiser sa

Nicolas: Ouais,

Dimitri: Scie,

Nicolas: Exactement.

Dimitri: Etc. Donc je suis un petit peu dans ce paradoxe là, j’étais dans ce paradoxe là. bon là vraiment j’avais des soucis d’administratif, mais maintenant que c’est derrière moi, je pense que effectivement maintenant ça va être les prochaines étapes. Parce que comme tu dis, on parle parfois intendance, logistique, administratif alors que c’est souvent le mindset qui qui a le plus de potentiel d’amélioration dans ce que tu es en train de faire.

Nicolas: Effectivement, c’est donc la logistique, l’opérationnel c’est plus sur du court terme et le le coaching, le mindset, ça peut te permettre d’orienter les grosses décisions de ton business sur ta manière de travailler, sur est ce que tu veux toujours être solopreneur? Est ce que tu veux grandir? Est ce que tu veux pas grandir? Est ce que c’est très bien comme plein de choses que, que Et en fait c’est aussi du temps pour toi, réellement. Tu sais, du temps que tu prends pour pour penser. À ce qui est. Tu as déjà vu j’imagine sur le livre de Kiyosaki, Moi je sais plus quel livre, mais le cadran avec les quatre, le urgent important,

Dimitri: Oui,

Nicolas: Pas important.

Dimitri: Important. Urgent.

Nicolas: Voilà.

Dimitri: Matrice

Nicolas: Mais en fait

Dimitri: D’eisenhower.

Nicolas: C’est facile de. Oui, c’est facile de jamais regarder ce qui est important mais pas urgent et important, pas urgent En fait, c’est ce qui correspond aux vraies priorités vitales, aux valeurs. Mais quand on a la tête dans le guidon, c’est très très compliqué. Et du coup, je pense qu’un coach un petit peu, ce qui te permet de regarder ce qui est important, donc important pour toi, mais ce qui est pas urgent, donc c’est vraiment ce qui tourne sur le long terme, sur les valeurs, sur comment tu te projette dans dans cinq ans, sur comment tu vas orienter ton business à long terme.

Dimitri: ça me fait penser, il y a vraiment un exercice avec la matrice d’Eisenhower qui est vraiment parlant. Tu sois salarié freelance. Je l’ai fait plusieurs fois et dans les différentes situations. Et en fait, tu essayes de regarder une semaine type, tu regardes les différentes tâches que tu as créé et tu

Nicolas: Ça

Dimitri: Essayes

Nicolas: Va.

Dimitri: De les placer dans la matrice d’Eisenhower pour savoir si ce que tu as fait, c’était dans le important, Urgent, important, Non urgent, Non important, urgent, non important, non urgent. Et en fait, c’est souvent très très révélateur. Et tu te rends compte que c’est rare en fait d’avoir plus de 30 % dans le important non urgent. Alors qu’en fait, le important non urgent finalement, c’est ce qui va t’empêcher d’avoir des urgences non importantes et

Nicolas: Peut.

Dimitri: C’est ce qui te permet d’aller dans la bonne direction. Et c’est la stratégie quoi. Et en fait, on se retrouve souvent tous dans le paradoxe de de gérer le court terme et ce qui nous empêche finalement de d’investir sur les sur le plus long terme qui est dans ce cadran là. Donc si ceux qui nous écoutent, ça les intéresse de faire un petit test, moi je vous le conseille vraiment. Juste vous reprenez la semaine qui vient de s’écouler, vous prenez la matrice d’Eisenhower, donc le fameux quadrant dont on parle là, et vous positionnez toutes les tâches que vous avez réalisées dans votre semaine et vous les visualisez après sur un schéma, et vous regardez où se situe la grosse majorité de vos tâches, Si c’est dans le important non urgent, bravo, vous êtes vraiment dans la bonne voie. Et puis si ce n’est pas le cas, comme on est nombreux dans ce cas quand on fait l’exercice, Vous voyez, c’est une bonne nouvelle parce que vous voyez plein d’opportunités d’amélioration et de gain de temps, de productivité, etc.

Nicolas: je trouve que par exemple, faire ce podcast c’est dans le important non? Urgent quoi.

Dimitri: Ouais, exactement.

Nicolas: Ça, c’est travailler sur. Déjà, c’est partager avec d’autres personnes notre vécu. C’est en tout cas pour moi ça l’est. C’est travailler aussi sur notre relation, toi et moi professionnel. C’est c’est confirmer qu’en plus on a la même manière de penser. Mine de rien, c’est vraiment plein de choses qui là dans l’immédiat ça va probablement pas changer nos vies demain. Par contre, peut être que

Dimitri: On.

Nicolas: Ça nous donnait encore plus envie de travailler ensemble. Ça me renforce dans l’idée qu’il y a d’autres gens qui pensent comme moi sur l’importance des relations humaines professionnelles. Enfin plein, plein de choses tu vois donc.

Dimitri: Ben tu vois, pour moi c’est aussi le signe que justement je suis en train de m’améliorer dans l’organisation parce que ça fait un moment que je sais que le podcast pour moi c’est important de le reprendre et que je m’étais fait un peu manger, bouffer par tout, l’opérationnel, le court terme, etc. Donc je pense que c’est un très bon signe que on puisse faire cet épisode là, en tout cas pour la suite. Et je suis tout à fait d’accord avec toi aussi sur le sur le but. Moi vraiment ce qui m’anime là dedans aussi c’est de me dire il y a peut être des gens que nos nos histoires vont pas intéresser qui sont déjà partis depuis longtemps. Et puis peut être encore quelques uns qui courageux, qui nous écoutent jusqu’au bout et qui finalement se rendent compte qu’ils ont des problématiques un peu comme les nôtres, des réflexions un peu dans le dans de même sujet et tu vois que ça les aide et que ça les guide et que ça montre que voilà, il y a plein de possibilités. Donc voilà, moi ce qui m’intéresse c’est ça, c’est qu’effectivement je sais que le podcast ça va

Nicolas: Elle.

Dimitri: Pas changer ma vie demain comme tu dis, mais des fois tu as des personnes un an plus tard qui t’en parlent. C’est comme un livre, c’est comme plein de choses.

Nicolas: Pour.

Dimitri: Donc tu vois, c’est vraiment sur le long terme. Et tu as vu cette belle transition que je te fais parce que je voulais te poser cette question là, mais on va dire je vais faire un package sur la fin, sur la fin du podcast, sur différentes questions.

Nicolas: Le

Dimitri: Mais

Nicolas: Parti.

Dimitri: Tu vois, je sais que tu avais écrit un livre, je t’avais posé la question, tu avais pas l’air d’être super motivé pour en refaire un forcément tout de suite. Mais en même temps, tu vois, tu as parlé quand je vois les posts que tu fais sur LinkedIn. Et puis le fait qu’on disait aussi que tu es plutôt dans du freelancing, donc toujours entrepreneur mais un petit peu plus actif et moins de revenus passifs. Mais est ce que tu as envie justement de créer, de compléter en fait ce que tu fais et tu vois l’expérience que tu es en train de vivre ou tu te reconvertis? Tu te lances dans le dev et tu es bien placé pour savoir que ça serait certainement jouable de faire un site ou un blog où tu racontes cette expérience. Et finalement ça aide des gens qui sont dans le même chemin de savoir comment tu as fait vu que tu sais rédiger, vu que tu as toutes ces informations que tu viens de nous donner là, ça te titille pas justement de partir aussi compléter ce que tu es en train de faire par une voie

Nicolas: Et.

Dimitri: Un peu plus création de contenu et revenus passifs. Et la fin de ma question, c’est ça cette question là sur l’écriture, la possibilité de faire des livres ou du contenu sur ce que tu es en train de vivre dans ta reconversion. Et puis c’est quoi aussi les prochaines étapes pour toi? Comment tu vois la suite, là, dans les deux trois années maintenant que tu es dans cette voie du développement?

Nicolas: Quand j’ai commencé le blog ABC Argent, une des raisons pour lesquelles j’ai commencé parce que je voulais, je voulais, je voulais faire un blog et obtenir des revenus passifs. Et la niche,

Dimitri: On.

Nicolas: La niche que j’avais choisi, c’est parce que je voyais que ce pas de qualité que personne en parlait suffisamment bien ceci, cela. Et il se trouve que le

Dimitri: Un.

Nicolas: Freelancing, il y a quand même beaucoup de gens qui en parlent très très bien, que ce soit sur LinkedIn, sur des blogs, sur le livre, sur le livre, sur des bouquins. Il y a même des gens, plusieurs personnes qui ont des blogs dédiés au freelancing dev en tant que dev, tu vois, ce qui est une niche, c’est une niche dans le contenu. Après, il y a tellement de dev freelance que c’est même plus une niche à ce niveau là. Mais. Mais donc il y a déjà du très très bon contenu qui existe. Honnêtement, j’ai. En tout cas pour l’instant je viens de commencer donc dans cinq ans, dans deux ans, cinq ans, je sais pas, mais là j’ai pas. J’ai pas franchement l’impression que je pourrais apporter quelque chose de nouveau.

Nicolas: Pour l’instant c’est pas du tout quelque chose que j’envisage. J’aime bien partager sur LinkedIn ce que je fais, ce que je pense. Je fais pas beaucoup mais je fais de temps en temps. J’aime bien. Je trouve ça intéressant d’avoir des retours. Je trouve ça super intéressant de parler avec des gens sur LinkedIn. C’est ça qui me manquait un peu sur le blog de parler des. C’est bête, mais en fait, la plupart des gens qui me contactaient, c’était vraiment comment je fais pour gagner de l’argent ce mois ci? C’est un peu

Dimitri: Ouais,

Nicolas: Relou. D’ailleurs

Dimitri: Ouais.

Nicolas: Là, un des aspects qui me plaisait plus sur le blog, c’était quand je parlais justement avec des avec toi, avec Séverin avec qui tu as beaucoup travaillé, avec qui tu travaillais encore, avec d’autres

Dimitri: Mais.

Nicolas: Personnes à qui on échangeait des emails super longs et qui partaient dans d’autres directions. C’était à nouveau, je reprends l’expression, c’était entre personnes intelligentes. Enfin, il y avait vraiment matière à échange. Et cette partie

Dimitri: Un.

Nicolas: Là du blog, ça arrivait pas souvent, mais quand les gens me contactaient, on commençait un échange, j’adorais ça. Donc j’aime bien aussi sur LinkedIn un petit peu partagé, répondre aux commentaires et j’ai rencontré plein de gens intéressants sur LinkedIn et du coup je vois plutôt ça comme ça pour l’instant partager un petit peu mon vécu sur LinkedIn, mais sans plus quoi. Sans forcément en faire un blog, un livre, des vidéos YouTube ou quoi?

Dimitri: Ouais bah en tout cas, je conseille à ceux qui nous écoutent de te suivre sur LinkedIn. Moi j’aime vraiment bien te lire et regarder tes

Nicolas: C’est

Dimitri: Réactions

Nicolas: Donc.

Dimitri: Et ça change. En fait, je passe quasiment plus de temps du tout sur LinkedIn parce que souvent

Nicolas: C’est bien.

Dimitri: En vrai, ça me gonfle

Nicolas: Je te comprends.

Dimitri: Les freelances qui te montrent comment ils ont le smic, LinkedIn à dix K euros par mois

Nicolas: C’est

Dimitri: Où

Nicolas: Exactement.

Dimitri: Tu vois toujours les mêmes posts en mode je vis ma vie, je fais mon selfie et je raconte un truc. Bref, je vais pas faire un tableau néfaste négatif de LinkedIn, il y a plein de choses. Bien sur LinkedIn c’est encore un super vecteur de visibilité mais bon, moi j’y trouve mon compte et sauf tes posts, tu vois, ça fait partie des rares vraiment où

Nicolas: Ah oui!

Dimitri: Je sens qu’il n’y a pas de blabla derrière et où c’est je trouve hyper intéressant de voir alors que moi je suis pourtant pas intéressé par le développement à priori. Mais ouais, pour moi c’est un petit bol d’air frais donc je t’encourage à continuer dans cette voie là. Moi j’aime bien te lire sur LinkedIn donc j’espère que tu vas continuer et que tu vas développer.

Nicolas: Ouais ouais, je fais pas tant que tant que ça. Tant que j’aimerais. Parce que c’est ça prend du temps d’essayer de bien faire les choses, mine de rien. Et surtout parce qu’en fait, dès que je me mets, dès que je rentre sur LinkedIn, c’est comme ça. Réseau social au final. Donc ça scrolle, il y a des nouveaux trucs qui apparaissent et du coup c’est facile de juste rentrer pour faire un truc et te retrouver une demi heure après. Tu sais pas ce qui vient de se passer. La dernière demi heure quoi. Un peu

Dimitri: Classique.

Nicolas: Sur Instagram, sur les souscriptions, sur YouTube, enfin. Et du coup, j’ai passé quelques semaines, notamment quand j’étais sur ton projet. Je rentrais quasiment plus sur LinkedIn parce que du coup j’étais moins en prospection aussi. Donc il y a aussi ça qui joue. Mais là j’essaye un petit peu de m’y remettre, mais c’est difficile de. En fait, c’est difficile de ne pas y passer du temps parce que malgré cet effet, il y a beaucoup de contenu et beaucoup de scroll. Il y a quand même pas mal de gens qui disent des choses qui m’intéressent beaucoup. Après, il y a beaucoup de gens qui disent qu’ils font des selfies, qui disent des trucs qui m’intéressent pas. Mais il y a aussi beaucoup de je suis beaucoup de créateurs de contenus, de dev, de freelances, de startupers qui disent des choses tellement intéressantes. Souvent je les garde pour les relire plus tard. Et il y a toujours des trucs, des retours d’expériences super intéressants. Mais c’est vrai que c’est très time consuming, donc j’essaie de faire attention.

Dimitri: Il y a plein de trucs intéressants sur LinkedIn,

Nicolas: Ouais.

Dimitri: C’est clair. Et c’est ça que j’aime bien aussi quand je te lis, c’est que souvent l’algorithme me montre tout ce que tu fais et donc je te vois quasiment tout le temps dans mon fil. Et justement ça m’a réconcilié un petit peu avec l’utilité de LinkedIn parce que je vois que toi tu trouves des en tout cas ou peut être dans le dev, mais il y a vraiment et je pense dans plein de domaines, mais il faut aller chercher, creuser et faire le filtre et du coup tu as un peu mon filtre à ce niveau là et c’est vrai que tu trouves des des, il y a des trouvailles, tu rebondis sur des posts qui sont hyper intéressants, donc je ne veux pas faire de mauvais procès à LinkedIn, ça reste quand même un super outil et j’imagine, vu ce que tu en parles toi, que c’est hyper utile aussi dans la prospection mais aussi formation, reconversion, etc.

Nicolas: C’est Au début, c’était plutôt un outil de prospection afin de me faire connaître, mais en fait, j’ai découvert des créateurs de contenus, j’ai suivi des formations qui le faisaient et en fait, c’est devenu bien plus qu’un réseau, c’est devenu bien plus qu’un réseau professionnel. Donc ça aussi, ça veut aussi dire qu’il y a des travers. Mais les gens qui vendent un peu la moto, évidemment, comme partout, qui font du storytelling à rallonge pour te vendre tout et n’importe quoi. Par contre, j’ai découvert plein de créateurs de contenus au sujet de la crise climatique et ça je trouvais ça super intéressant parce que du coup j’apprends pas mal de choses rien qu’en lisant des posts, je vois les gens à suivre et je me dis que mine de rien, peut être qu’à terme ça peut me permettre aussi de connaître peut être les bonnes personnes pour travailler aussi dans ce domaine là, pourquoi pas, même en tant que dev. Donc c’est pas forcément quelque chose que j’avais envisagé, mais en fait c’est un moyen aussi de d’allier une autre passion et de découvrir d’autres mondes. C’est pas que je suis dev, je vais suivre d’autres dev ou quoi? Non, c’est vraiment très très ample. Ça parle de freelancing, ça parle de storytelling, ça parle de tout, tout, tout, parfois trop du coup. Mais. En fait, c’est comme tout, n’importe quel outil, il faut l’utiliser, il faut l’utiliser, mais à sa juste mesure. Il faut faire attention et pas en abuser.

Nicolas: Ça peut vraiment permettre de

Dimitri: Oui.

Nicolas: Rencontrer plein de gens et toi et moi. Si je n’avais pas posté sur LinkedIn et si tu n’étais pas dessus, on se serait je pense pas reparlé. Ou pas. En tout cas pas pour ce projet. Et du coup, ça t’a aidé toi. Ça m’a aidé moi et. Et j’ai rencontré plein d’autres personnes intéressantes. Je pense qu’il y a plus d’avantages que d’inconvénients. Et si vous êtes en reconversion et que vous rentrez dans un domaine où vous connaissez presque personne, ce qui doit souvent arriver quand on fait la reconversion. Eh bien, c’est peut être ça peut être vraiment une bonne source de pour connaître du monde, pour prospecter, pour découvrir des créateurs de contenu, du contenu pour pour s’enrichir en fait. Et voilà,

Dimitri: Ouais, c’est sûr. Je suis tout à fait d’accord avec toi. Hé hé hé oui! Alors il y avait une question. Tu sais que le podcast je vais le renommer le podcast, je le renomme et ça va s’appeler Gagner sa liberté.

Dimitri: avec ce que tu as vécu aujourd’hui, comment toi tu définis la liberté au sens large du terme. C’est quoi ta définition à toi de la liberté?

Nicolas: Pour moi la liberté c’est vraiment de. Scène C’est une belle question. Sais pas si c’est vraiment le fait de pouvoir choisir quoi. Pour moi la

Dimitri: Ouais.

Nicolas: Liberté la la je me sens quand même pas mal libre parce que je peux choisir comment j’organise mon temps, comment je dépense mon argent, avec qui je passe mon temps. Et liberté. Ça ne veut pas forcément dire qu’il faut être freelance comme moi ou avoir gagné de l’argent en vendant son business ou quoi. Ça peut. C’est plutôt c’est vraiment être bien dans ce qu’on fait au quotidien et avec qui on est. Tu vois, tu peux être salarié

Dimitri: Un.

Nicolas: Et te sentir plus libre qu’un freelance qui est sous les contraintes et qui qui qui travaille des clients pourris, tu vois, c’est vraiment une sorte de liberté, c’est un peu la sérénité, c’est un peu limite l’insouciance quoi. Vraiment c’est pas moi, je suis pas du genre à m’acheter des gros trucs, donc c’était plus le fait de. Pour pouvoir organiser mon temps de pouvoir, de pouvoir prendre une pause un jour parce que ma fille est malade ou parce que j’ai envie de faire autre chose, Parce que j’ai envie de sortir de Madrid avec ma copine ou ou de se dire ce 12 h on va au resto de pas trop avoir à réfléchir sur des sujets de base de euh. Dans mon cas, il se trouve que notamment pendant l’aventure du blog, j’ai vraiment eu cet aspect où j’avais de comptes à rendre absolument personne, ce qui a pu être le cas en étant freelance, parce que j’aurais forcément des clients à qui je dois rendre des comptes. Mais là, le blog c’était pour moi. Je trouvais toujours que c’était la situation parfaite dans le sens où j’avais pas de chef, j’étais mon propre chef. Donc évidemment ça a ses inconvénients aussi. Mais je décidais, je devais pas demander des jours de vacances, je devais pas demander. Quoi faire. Je décide vraiment tout sur mon business et ça, je sais que je me sentais assez libre par rapport à ça. Plus c’est plus ce qu’il y avait autour du blog que les milliers ou dizaines de milliers d’euros que ça pouvait me rapporter en fin de mois. Ça c’est vraiment la. Je sais pas si je pas ça répond à ta question mais c’est vraiment cette sensation un peu de

Dimitri: Voici ici si.

Nicolas: De choix, de choix de ce travail. Je travaille pas aujourd’hui, je peux partir trois mois en vacances, mais je travaille quand même un petit peu parce que j’ai envie et deux j’ai besoin mais j’ai aussi envie d’avancer sur certains sujets de travail. Mais après je sais que je peux profiter des vacances. Tu m’a posé un peu la question avant sur les projets futurs. Voilà, mon idéal dans le futur, c’est d’avoir la liberté un peu dans les missions que je choisis. Tu vois, ça sera pas le cas au début parce que je vais être encore quand même un petit peu junior. J’aurai pas beaucoup d’expérience, donc pas tout le monde va me dire oui à un moment, que j’ai des expériences à faire valoir, tu vois. Mais dans quelques années, j’aimerais pouvoir dire cette mission là m’intéresse pas et j’en ai pas besoin. Par contre, cette mission peut être qui peut être me paye moins, mais par contre ça, ça fait ça a du sens. Et mes valeurs, ça correspond. J’ai envie de me lever tous les matins pour faire ça et ça c’est le vrai choix ou de me dire ok, je vais travailler que quatre jours par semaine parce que le cinquième jour je veux faire du bénévolat, je veux faire du dev, mais bénévolat quoi, Une association ceci, cela, c’est un peu cette liberté de. Alors du coup c’est quand même lié à l’argent dans. En tout cas, dans ce que je t’explique, il faut forcément un petit peu d’argent pour avoir cette liberté de faire ces choix là. Mais c’est pas l’argent

Dimitri: C’est

Nicolas: En

Dimitri: Un

Nicolas: Tant

Dimitri: Moyen.

Nicolas: Que tel. C’est pas parce que j’ai cinq ou six ou quatre zéro sur mon compte que je me sens libre. C’est pas vraiment par rapport à ce que ça m’apporte quoi.

Nicolas: Il y a beaucoup de gens. Je pense qu’ils sont très limités sur le fait de dire Voilà, mon objectif, c’est de gagner tant par mois et je serai libre. Mais c’est plus par rapport au fait de dire j’ai de l’argent. C’est un objectif, c’est pas, c’est pas plutôt par rapport à ce que ça suggère derrière, par rapport à ce que ça peut apporter en termes de vie, de facilité, de choix, de. Voilà, je sais pas, je me suis un peu embrouillé peut être dans ma réponse, désolé, je suis un peu parti dans toutes les directions. J’espère

Dimitri: Non,

Nicolas: Que ça.

Dimitri: Non, écoute, je trouve que c’est super intéressant parce que justement tu es passé par là, tu es passé par des stades où ce que certains se représentent peut être dans comme la liberté idéale, tu vois. Et finalement tu vois bien que finalement, quand tu as atteint ce stade là, ce n’était pas forcément ça qui était une meilleure définition de la liberté pour toi que ce que tu es en train de faire maintenant, où tu es en phase avec ce que tu fais. Ça me fait penser un peu au notion d’ikigaï où tu vois ce genre de choses

Nicolas: Oui, exactement.

Dimitri: Vraiment, voire même aussi le je ne sais plus si c’est dans dix poires que je l’avais que j’avais lu. C’est où où il parle du forgeron? Tu vois le forgeron qui est finalement qui est en sérénité absolue avec tous ses gestes pendant toute une journée. Et pour lui, c’est ça le bonheur, C’est ça la liberté, tu vois, de ne pas avoir à réfléchir trop à ce qu’il fait d’autre que ce qu’il est en train de faire sur l’instant T et qui est l’expression d’une excellence, d’une maitrise, d’un art qu’il a, qu’il a acquis depuis des années quoi. Donc c’est vraiment l’argent dans tout ça. C’est. On comprend bien dans ta réponse que c’est vraiment que un support pour pour le. Pour le reste c’est certainement indispensable. Quoique après tout dépend de ce que tu as envie de faire. Et effectivement la notion de choix en premier. Toi tu parles de choix. Comment j’organise mon temps? Avec qui je le passe finalement? Y Il n’y a pas beaucoup le mot argent dans ta réponse et c’est intéressant justement. Et je suis d’accord avec toi aussi des fois ça m’est arrivé aussi d’avoir comme objectif quasiment principal des nombres de chiffres et de zéros, et finalement c’est rarement comme ça finalement que tu les atteint ces objectifs là, déjà, et puis que tu

Nicolas: Son.

Dimitri: T’éclates.

Nicolas: C’est bien que tu mentionnes le Ikigai en fait, c’est un peu ça. C’est à dire que avec le blog, à un moment j’ai atteint des revenus vraiment que je n’aurais jamais imaginé des revenus très très haut et relativement passifs. Mais en fait ça me ça, ça m’intéressait plus vraiment. Enfin, c’est pas que ça m’intéressait plus de me lever, mais il y avait plus cette excitation et

Nicolas: Et du coup. Maintenant, j’associe vraiment plus la liberté au fait de pouvoir choisir, peut être de travailler un jour là où je travaille. Si on me donne une mission, je travaillerai toute la semaine, toutes les semaines. Mais à terme, pouvoir un peu choisir où est ce que je passe mon temps, sur quelle mission et de me dire ça c’est suffisant. J’ai pas besoin de gagner le SMIC. Linkedin peut être le fameux dix zéro zéro 0 € par mois net pour je sais plus moi

Dimitri: C’est la blague qui

Nicolas: C’est.

Dimitri: Tourne sur LinkedIn pour ceux

Nicolas: Ouais.

Dimitri: Qui connaissent pas le SMIC sur LinkedIn, des freelances qui se la racontent un peu

Nicolas: Qui

Dimitri: Et

Nicolas: Se

Dimitri: Qui

Nicolas: Rend

Dimitri: Font

Nicolas: Compte

Dimitri: Tous

Nicolas: Que

Dimitri: 10 000 €

Nicolas: Ceux

Dimitri: Par mois.

Nicolas: Qui essaie de vendre des formations sur comment être freelance comme eux gagner la même chose. Bref, c’est souvent le comment on dit le serpent qui se mord la queue. Et non, moi je sais bien que d’un point de vue purement financier, évidemment, j’ai pas besoin de tout ça pour pour vivre et bien vivre et être heureux quoi. Mais ouais, c’est c’est important de savoir aussi et. Et je. Ouais, clairement. Je pense pas que l’argent ça donne une liberté, ça peut un peu aider mais. Mais en tout cas pour moi c’est pas assez. Pas synonyme du tout. Voilà.

Dimitri: Et justement, on parlait d’ikigai. C’est une méthode pour essayer de moi, il faudrait, je peux pas l’expliquer là, il faudrait plusieurs épisodes pour expliquer ça. Mais effectivement, c’est justement pour faire prendre conscience que ta place c’est pas forcément que l’argent. C’est vraiment essayer de trouver le bon équilibre entre toutes les composantes de ce que tu aimes bien faire, de là où il y a un besoin et de quand même ce qui peut te rémunérer aussi. Juste pour terminer, une peut être une dernière question. Je me souviens, la dernière épisode, on avait parlé, on s’était enflammé en parlant de MJ DeMarco, on aimait bien tous les deux. Et là justement, niveau méthode livre, est ce que tu es toujours dans dans des lectures comme à l’époque MJ DeMarco c’est plus entrepreneuriat, business, etc. Est ce que tu continues à lire de la non-fiction et si oui, qu’est ce qui te dis? Qu’est ce que tu as aimé ces derniers temps comme livre et pourquoi ça t’a aidé? Alors soit dans le dans le sens plus développement, business ou mindset ou alors concrètement plus sur ta reconversion en tant que développeur,

Nicolas: J’ai lu moins des livres de non-fiction pour le coup, j’ai lu le dernier livre de MJ DeMarco, je sais plus comment il s’appelle, je sais pas ou c’est encore un autre truc qui était pas mal.

Dimitri: Great Escape WE avec une partie romancée, non?

Nicolas: Ouais, exactement. Une partie romancée. Je trouve que c’était super

Dimitri: J’ai

Nicolas: Original.

Dimitri: Bien aimé.

Dimitri: On va faire le on va faire le fan club de MJ DeMarco francophone si tu veux.

Nicolas: Non,

Dimitri: J’ai l’impression

Nicolas: Mais

Dimitri: Qu’on

Nicolas: Ce

Dimitri: Est

Nicolas: Livre

Dimitri: Les

Nicolas: Était

Dimitri: Seuls

Nicolas: Bien.

Dimitri: À avoir lu ces livres.

Nicolas: Ça, c’est un pote qui me l’a fait découvrir. C’est le pote qui m’a fait découvrir le tous les le blogging, les sites de niche. Donc c’est mon idole pour pour forever quoi. Sans lui on serait pas en train de faire ce podcast donc. Et notamment il m’a fait découvrir MJ DeMarco. Lui était ultra fan.

Nicolas: Les idées étaient intéressantes et je trouve que c’est bien poussé, notamment la manière romancée, le message qu’il fait passer. C’était plutôt bien, mais c’était il y a deux ans. Après, j’ai lu des livres, pas mal de livres et de ressources sur le développement, le développement. Informatique.

Nicolas: Et sinon, oui, donc quelques livres en espagnol sur le personnage. Je saurais pas dire les noms. Pas mal de ressources sur le blogging en général, sur le fait de devenir freelance, sur le fait de devenir software engineer. Pareil en français, en anglais. J’ai lu un livre sur LinkedIn qui est pas mal à Tanger à côté, je dois te dire le nom qui s’appelle à la conquête de LinkedIn. Donc c’est pas mal de Christopher

Dimitri: À la conquête

Nicolas: Python.

Dimitri: Du. Ah oui? Bah écoute, ouais,

Nicolas: Et surtout, je lis beaucoup en ce moment, notamment grâce à LinkedIn. J’écoute des potes, les seuls podcasts que j’écoute, désolé, j’écoute pas le tien. C’est un podcast de Nabil Wakim qui est un journaliste du Monde qui s’appelle Chaleur humaine sur sur la crise climatique. Donc ça j’écoute. Et sinon, des publications sur la crise climatique en général, le blog de bon pote que je lis quasiment tous les articles. Parfois d’autres, d’autres créateurs de contenu sur le sujet. Il y en a plein sur LinkedIn. Si vous mettez le doigt dans l’engrenage, il y en a tellement. Donc voilà, c’est pas mal. C’est pas mal de choses que je lis en non-fiction.

Dimitri: Ok, chouette liste, bon pote tu dis

Nicolas: Ouais mon

Dimitri: Tu connais

Nicolas: Pote,

Dimitri: Pas mon pote?

Nicolas: C’est le nom du blog

Dimitri: Ok.

Nicolas: Et le blogueur s’appelle Thomas Wagner et c’est un des. C’est une des personnalités maintenant je pense, les plus connues sur le sujet de la crise climatique.

Nicolas: Ce qui est génial, c’est qu’en fait, quand tu le suis, tu vois tous les commentaires qu’il fait sur les publications d’autres personnes notamment. Par exemple quand des grosses entreprises font du greenwashing ou le ministre de l’économie annonce que la France est première sur la transition écologique et que c’est du bullshit. Donc à chaque fois lui répond et c’est génial, c’est. C’est du petit sucre, du non, on dit pas comme ça mais bref, tu m’as compris.

Dimitri: Un petit peu. Oui, je vois donc un peu le poil à gratter.

Nicolas: Ah mais carrément!

Dimitri: Du greenwashing?

Nicolas: Ah ouais mais c’est trop bien parce s’il en faut.

Dimitri: Ben ouais, je suis tout à fait d’accord avec toi. j’ai plus de travail à faire que toi j’ai l’impression. Mais c’est quand même un sujet aussi qui m’intéresse.

Nicolas: Il en est tellement. C’est comme tous les sujets.

Dimitri: Il va falloir qu’on s’y intéresse.

Nicolas: Dès que tu mets le doigt dedans, tu vois qu’il reste tellement à apprendre, à appréhender. Mais c’est intéressant. Très intéressant.

Dimitri: encore super cool d’être passé par le podcast Nicolas Je suis super content d’avoir eu cette discussion. Je pense que ça se sent. Ceux qui écoutent là encore c’est que on pourrait parler pendant des heures et j’espère que ça sera l’occasion d’un troisième épisode un jour. Et en tout cas, j’ai vraiment pris du plaisir à discuter avec toi et puis échanger, voir ce que tu étais devenu, voir comment tu envisages les choses. Aujourd’hui, je suis persuadé qu’il y a plein de gens qui connaissaient ABC Argent, qui sont contents d’avoir des nouvelles aussi. Je sais pas si tu en as donné ailleurs, mais en tout cas, c’était vraiment un privilège de t’accueillir ici. Et encore une fois, merci d’être passé par le podcast. Gagner sa liberté La voie du Side business.

Nicolas: Merci à toi. C’était super cool de parler de plein de choses et de complètement dévier sur certains sujets, mais qui sont en fait très très importants et qui qui prouvent, qui montre pourquoi on a bien. On aime bien passer du temps ensemble à papoter. Et voilà, c’était cool. Écoute, à ta dispo pour un troisième podcast, on verra quand.

Dimitri: Bah avec plaisir. Je comprends. J’accepte l’invitation. On prend date et

Nicolas: Prend.

Dimitri: Puis on se prévoit ça. La prochaine étape, ça marche.

Nicolas: Ça marche.

Dimitri: Merci beaucoup Nicolas Et puis au plaisir! Nous, on va continuer à échanger sur différents projets et puis bonne continuation et puis. Voilà, J’invite encore une fois ceux qui nous écoutent, qui ont des projets à te contacter s’ils ont quelque chose de sérieux, parce que ça peut vraiment les faire avancer comme nous, ça nous a fait avancer avec auto édition facile. Donc encore une fois, merci Et puis au plaisir de continuer les échanges bientôt pour nos projets.

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